« @realDonaldTrump d’après vous qui va gagner le combat Fury-AJ (Joshua, NDLR)? Vous pouvez m’accompagner, faire partie du plus grand combat de tous les temps », a tweeté le boxeur, qui n’est pas remonté sur un ring depuis sa triple couronne des lourds (WBA-WBO-IBF) face à l’Ukrainien Wladimir Klitschko en novembre 2015.
Fury ne dispose pas d’une licence pour boxer professionnellement au Royaume-Uni. Sa licence lui a été retirée à titre provisoire en octobre 2016 pour consommation de cocaïne. Accusé de dopage depuis plus d’un an par l’Agence britannique antidopage (UKAD), il attend d’être auditionné par cet organisme.
Sur Instagram, Fury a comparé l’éventuel combat contre Joshua au « Rumble in the Jungle » entre Muhamad Ali et George Foreman à Kinshasa en 1974.
« C’est ce qui arrive! », a-t-il commenté en postant une photo du célèbre combat. « Le vieux champion qui revient alors que tout le monde pense qu’il va être mis KO, comme Ali contre Forman (…) Je ne vais pas être impressionné par quelques muscles et j’ai le mental d’un gagnant qui n’a jamais perdu de combat. », a ajouté Fury.
Début octobre, le fantasque combattant avait annoncé son intention de ne pas demander de nouvelle licence. Mais huit jours plus tard, il avait affirmé qu’il comptait participer à « trois gros combats en 2018 ».
Après la défense de ses titres IBF et WBA contre le Franco-Camerounais Carlos Takam samedi à Cardiff, Joshua n’avait pas exclu un combat contre Fury, tout en privilégiant son ojectif d’unifier les titres en combattant le champion WBO, le Néo-zélandais Joseph Parker, puis le champion WBC, l’Américain Deontay Wilder.
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