Après avoir pris un arrêté interdisant totalement la vente d’alcool sur tout le territoire du département de l’Aisne jusqu’au 31 mars, le Préfet du département est revenu sur sa décision et a abrogé le texte.
L’idée derrière l’interdiction de la vente d’alcool était « d’éviter les rassemblements et surtout les violences intra-familiales, qui pourraient être la conséquence d’une consommation abusive d’alcool », a indiqué le préfet de l’Aisne Ziad Khoury, rapporte L’Union.
La mesure qui devait prendre effet en plein confinement de la population française destiné à éviter la propagation du virus du Parti communiste chinois, a évidemment suscité de nombreuses réactions.
Avant l’abrogation de l’arrêté, le directeur d’un supermarché de Braine avait témoigné auprès du Figaro qu’il allait devoir barricader son rayon d’alcool et que ses clients se déplaçaient jusqu’au département voisin, la Marne, afin de faire leurs courses, ce qui n’est pas compatible avec les règles du confinement.
Finalement, l’arrêté annoncé le 23 mars a été abrogé dès le lendemain par le préfet : « à la suite d’échanges, en particulier avec des addictologues, sur certaines conséquences négatives possibles d’une mesure généralisée, même très temporaire, le préfet a décidé de rapporter cette disposition dans l’attente d’une évaluation plus large des mesures envisageables dans ce domaine », indique la Préfecture, selon Le Parisien.
* Epoch Times évite le terme « COVID-19 » et utilise plutôt l’expression « virus du Parti communiste chinois », du fait de la dissimulation et de la gestion déplorable du Parti communiste chinois qui ont permis au virus de se propager dans toute la Chine, générant ainsi une pandémie à l’échelle mondial.
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