29 employés d’un Ehpad situé près de Lyon se sont portés volontaires pour rester confinés 24h/24 dans l’établissement, afin de ne pas risquer de contaminer les 108 résidents pendant l’épidémie du virus de Wuhan. Un dévouement exceptionnel de la part de ces personnes bienveillantes.
« En ces temps de confinement, d’isolement social, ici nous avons pris la décision de rester en permanence dans la maison pendant deux semaines », a indiqué dans un post Facebook la directrice de l’Ehpad Vilanova situé à Corbas.
Alors que la France est en pleine épidémie de coronavirus, nous savons tous que les personnes les plus à risque sont les personnes âgées. Il est donc primordial de prendre toutes les mesures possibles pour les protéger du virus du PCC.
Epoch Times désigne le nouveau coronavirus de Wuhan, responsable de la maladie du Covid-19, comme le « virus du PCC », car la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois (PCC) ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.
COUVERTURE SPÉCIALE VIRUS DU PCC
Depuis le 18 mars, les employés de cet Ehpad de la métropole de Lyon se sont volontairement placés en confinement avec les résidents, restant en permanence avec eux. Ils ont fait ce choix malgré le fait qu’ils devaient être séparés de leur famille.
« Ce matin-là nous sommes arrivés avec nos sacs de couchage et nos valises pour rester auprès des résidents », a témoigné à France 3 la directrice de l’établissement.
Le personnel de la maison de retraite n’a pas attendu de savoir si le confinement national serait prolongé ou pas avant de choisir de rester encore parmi les personnes âgées jusqu’au 8 avril. À ce jour, 27 des 29 employés sont encore sur place et travaillent très fort.
« Ouvrir les portes avant c’est trop tôt ! », assure la directrice, qui précise toutefois que « si c’est trop dur, ceux qui voudront partir avant le pourront… Ils doivent se sentir libres de rester ou de partir! »
Les employés ne manquent pas de place dans l’Ehpad. La directrice, de son côté, s’est par exemple installé un lit dans son bureau.
Quant aux résidents, ils se sont senti rassurés par cette décision pleine de compassion et cette présence constante.
La directrice a même constaté que « certains ont réagi avec amusement en voyant par exemple la directrice en robe de chambre le matin au petit déjeuner, ou l’équipe de nuit en pyjama, en plein jour… »
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