Le dioxyde de carbone (CO2) est-il vraiment aussi néfaste que le prétendent certains scientifiques et les alarmistes du mouvement environnemental, social et de gouvernance (ESG) ?
Est-ce que le CO2 est responsable de la hausse des températures, des conditions météorologiques extrêmes, des pénuries alimentaires, voire de la famine ?
Selon les instances de renom dans le domaine du climat, telles que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat et la Columbia Climate School, le CO2 provoque le réchauffement de la planète par le biais de l’effet de serre. En outre, on s’attend aussi qu’en raison de l’activité humaine, telle que l’industrialisation, les niveaux de CO2 soient plus élevés qu’ils ne l’ont été depuis au moins 3 millions d’années.
On nous dit également que les animaux d’élevage contribuent largement à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre – pires en Europe que tous les camions et voitures réunis – et que les quantités accrues de CO2 resteront dans l’atmosphère pendant des centaines d’années. Les résultats seront catastrophiques : sécheresses, famines, inondations, etc.
Bref, l’augmentation des niveaux de CO2 est en train de tuer la planète.
Quelques propositions modestes pour « sauver la planète »
Quelle est la solution proposée ? Comment allons-nous « sauver la planète » ?
Les choix qui sont déjà préparés pour nous comprennent le remplacement des voitures à essence par des véhicules électriques, la diminution des activités industrielles productrices de carbone ainsi que la réduction de l’exploitation agricole et de la population d’animaux d’élevage. Ah oui, nous devrions encore remplacer la viande et les protéines laitières par des insectes.
Ce n’est pas tout, bien sûr. La plus grande menace pour la planète est l’humanité elle-même. Nous. Vous et moi. Par conséquent, nous devons également réduire le nombre d’êtres humains habitant la planète.
Toutes ces mesures drastiques et inhumaines sont nécessaires, disent-ils, à cause d’un petit gaz qui ne représente que 0,04% de l’atmosphère.
Mais est-ce que tous ces propos sur la « crise climatique » et la « science » du climat sont vrais ?
Examinons-les l’un après l’autre.
Est-ce que le CO2 est réellement à l’origine de la hausse des températures ?
Les hausses et les baisses du niveau de CO2 n’ont rien de nouveau. En fait, elles ont toujours été beaucoup plus élevées qu’aujourd’hui. En outre, il n’y a pas de corrélation historique ni même de lien de cause à effet entre les niveaux de CO2 et l’augmentation des températures moyennes.
Selon Patrick Moore, l’un des premiers fondateurs de Greenpeace, l’ensemble du discours sur le CO2 est basé sur des mensonges et des demi-vérités, en particulier en ce qui concerne la prétendue cause du réchauffement de la Terre.
« Il est clair que la planète se réchauffe depuis 1700 environ, soit 150 ans avant que nous n’utilisions des combustibles fossiles », a-t-il souligné. « L’année 1700 correspond à l’apogée du petit âge glaciaire, qui a été une période très froide et qui a entraîné de mauvaises récoltes et des famines. Avant cela, vers l’an 1000, il y a eu la période chaude médiévale, lorsque les Vikings ont cultivé le Groenland. Avant cela, vers 500 après J.-C., c’était l’âge des ténèbres et, avant cela, la période chaude romaine, lorsqu’il faisait plus chaud qu’aujourd’hui et lorsque le niveau de la mer était de 1 à 2 mètres plus élevé qu’aujourd’hui. »
Patrick Moore a prouvé que les niveaux de CO2 ont été beaucoup plus hauts qu’aujourd’hui il y a des centaines, voire des milliers d’années, sans que l’activité industrielle humaine en soit la cause. Ceux qui font avancer les mesures relatives au changement climatique sont soit dans l’erreur, soit corrompus, soit tout simplement amoraux lorsqu’il s’agit du bien-être de leurs semblables.
Plus de CO2, plus de nourriture et d’oxygène
En réalité, le CO2 est bénéfique pour la planète à bien des égards, en particulier lorsqu’il s’agit de résoudre les problèmes de pénurie alimentaire.
Ce que confirme le Dr Craig Idso, président du Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change (Centre d’études sur le dioxyde de carbone et le changement climatique).
« Au cours des cinq dernières décennies, des milliers d’études en laboratoire et sur le terrain ont été effectuées dans le but d’examiner les réactions des plantes à des niveaux plus élevés de CO2 atmosphérique », a-t-il écrit. « Ces études sur l’enrichissement en CO2, comme on les appelle, sont presque unanimes dans ce qu’elles ont découvert : des niveaux accrus de CO2 améliorent considérablement la photosynthèse des plantes et stimulent leur croissance. »
Bref, une augmentation, même minime, du CO2 se traduit par une augmentation importante des rendements agricoles. Voilà sur ce qui concerne les propos au sujet de la famine induite par le CO2.
En fait, plus il y aura de CO2, plus il y aura de plantes produisant de l’oxygène et plus il y aura de nourriture provenant des plantes et des animaux pour nourrir les humains.
Et beaucoup plus.
Les voitures électriques tuent la planète et nos réseaux électriques
En ce qui concerne les voitures électriques (VE), la course au lithium, qui est essentiel pour les batteries de ces voitures, détruit l’environnement à un rythme alarmant. L’extraction du lithium détruit les terres fertiles, épuise les nappes phréatiques, empoisonne les zones environnantes, tue la faune et la flore et cause d’autres dommages environnementaux à un rythme alarmant. Elle augmente également les niveaux de CO2.
Les VE sollicitent nos réseaux électriques et sont bien chères. Et pourtant, les voitures à essence ou diesel sont progressivement abandonnées. C’est un peu comme si quelqu’un ne voulait pas que les gens ordinaires aient leur propre moyen de transport.
Il serait raisonnable de dire que c’est plutôt l’élite mondiale qui est le pourvoyeur le plus prolifique de famine, de maladies, de guerres et de mort dans ce monde. La spoliation des terres agricoles, l’élimination des moyens de subsistance des populations, l’interdiction des cuisinières à gaz, la vaccination obligatoire par des vaccins expérimentaux, la destruction d’exploitations agricoles très efficaces sous prétexte du « changement climatique » et la mauvaise gestion économique sont des dangers bien plus graves pour l’humanité que le CO2.
Le mythe du changement climatique n’est rien d’autre qu’un mythe. Il fait la même chose que ce qu’il prétend empêcher. Il s’agit d’un mensonge, superposé à de nombreux autres mensonges et évangélisé par une fine couche d’inhumanité connue sous le nom d’élite mondiale. Cette élite arrive dans ses jets privés fortement polluants pour se rencontrer et décider, autour d’un filet mignon, de ce qu’elle va prendre au reste de l’humanité, c’est-à-dire à nous, et de la manière dont elle va faire passer encore plus de pouvoir et de contrôle à l’État.
Perpétuer le mensonge selon lequel l’augmentation des niveaux de CO2 entraînera la mort de l’espèce humaine témoigne d’un mépris de la vie humaine de la part des plus grands hypocrites de la planète.
Une planète destinée à l’humanité
Cependant, l’humanité n’est pas le problème de notre planète.
En fait, on pourrait dire que la Terre est remarquablement unique et qu’elle a été spécialement conçue pour que les êtres humains y vivent et s’y épanouissent. Comme il est mentionné dans la Bible, « multipliez-vous et répandez-vous en grand nombre sur la terre » semble beaucoup plus sage, plus sain et plus agréable que d’extraire du lithium et de manger des insectes.
C’est parce que c’est comme ça.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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