Le 29 janvier, le diffuseur national canadien CBC (Société Radio-Canada ou SRC, en français) a publié des reportages sur la récente édition-échantillon d’Epoch Times livrée par Postes Canada.
Le matin du 29 janvier, le reportage du diffuseur national a été le deuxième plus important reportage sur le site web de la CBC et a été le premier segment du World Report, l’émission des nouvelles du matin de la CBC. Il a également fait l’objet d’une forte promotion sur la radio de la CBC.
À la fois dans son reportage en ligne et au début de son segment radio, la CBC tente de nous discréditer en affirmant que nous couvrons « la théorie de la conspiration QAnon », ce qui donne le ton de son reportage.
En réalité, la CBC et le New York Times ont fait plus de reportages sur QAnon qu’Epoch Times. Une recherche rapide du mot « QAnon » sur le site CBC.ca a donné 251 résultats. Une recherche sur le site du New York Times a donné 578 résultats. Alors qu’une recherche sur le site TheEpochTimes.com n’a donné que 53 résultats, soit beaucoup moins que la CBC ou le New York Times.
Au début du phénomène QAnon, nous n’avions que deux articles sur le sujet. Plus tard, puisque cette question a été plus largement couverte par d’autres médias, nous l’avons également davantage couvert, avec des titres tels que « Twitter suspend plus de 70 000 comptes QAnon », etc.
Le fait que la CBC ait pointé du doigt Epoch Times pour de prétendus reportages sur les QAnon semble délibéré et spécifiquement destiné à nous discréditer. La CBC insinue que le phénomène QAnon aurait été un centre d’intérêt pour nous, alors que la CBC elle-même l’a couvert plus que nous ne l’avons fait, et pour nous, il ne s’agit que d’un sujet parmi des milliers d’autres.
Les reportages de la CBC sur Epoch Times, tant ceux publiés dernièrement que dans le passé, ont eu pour effet dommageable de déformer la vérité sur de nombreux faits et questions liés à Epoch Times. Nous avons toujours agi de bonne foi, mais cette attaque discriminatoire et disproportionnée contre Epoch Times doit cesser.
Nous demandons à la CBC de cesser ses attaques malveillantes et persistantes contre Epoch Times, et nous exigeons des rectifications et des excuses.
Epoch Times est un média indépendant et non partisan qui rend compte de manière honnête et objective et qui a remporté de nombreux prix de journalisme.
Début janvier 2021, Epoch Times a publié une édition-échantillon de 28 pages distribuée dans certaines régions du Canada et du Québec par Postes Canada afin d’accroître notre lectorat et notre base d’abonnés. L’échantillonnage est une pratique courante et bien établie dans le secteur de l’édition. Des milliers de personnes qui ont reçu notre échantillon nous ont fait des retours positifs.
Cette édition comprend et présente une série d’articles sur l’actualité nationale et internationale, des articles d’opinion, sur la santé, la culture et autres contenus lifestyle, ainsi qu’une section spéciale de dix pages sur les efforts continus de Pékin pour influencer et infiltrer le Canada et l’Occident, y compris les politiciens canadiens. (Au Québec, seule une édition spéciale de dix pages a été distribuée en français.)
Voici, ci-dessous, notre précédente déclaration, ainsi que notre réponse à la requête de la CBC :
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Le 22 janvier 2021
À la suite de la présente déclaration, vous trouverez notre réponse à la requête de la journaliste de la Société Radio-Canada (SRC, ou CBC en anglais).
Début janvier 2021, Epoch Times a publié une édition d’échantillon de 28 pages distribuée dans certaines régions par Postes Canada afin d’accroître notre lectorat et notre base d’abonnés, une pratique courante et établie dans le secteur de l’édition.
Cette édition comprend et présente une série d’articles sur l’actualité nationale et internationale, des articles d’opinion, sur la santé, la culture et autres contenus lifestyle, ainsi qu’une section spéciale de dix pages sur les efforts continus de Pékin pour influencer et infiltrer le Canada et l’Occident, y compris les politiciens canadiens. (Au Québec, seule une édition spéciale de dix pages a été distribuée en français.)
Le 21 janvier, nous avons reçu une requête de la journaliste de CBC News, Katie Nicholson, concernant notre dernière édition d’échantillon, dont les questions étaient truffées de préjugés et d’inexactitudes au sujet d’Epoch Times.
Pour les raisons suivantes, nous avons décidé de publier notre réponse à la CBC.
L’an dernier, cette même journaliste de la CBC avait couvert notre précédente édition d’échantillon d’avril 2020, qui portait sur la dissimulation par le régime chinois de l’épidémie de coronavirus ayant conduit à la pandémie mondiale. À l’époque, elle avait délibérément omis de mentionner des informations importantes que nous lui avions communiquées avant sa date de tombée, et a rédigé des articles biaisés à sensation au sujet de notre média.
Le 29 avril 2020, la CBC a diffusé son reportage à la télévision, à la radio et sur son site web, avec un titre inexact et provocateur qui commençait par « Raciste et incendiaire […] », ce qui était l’opinion d’une personne, et le reste du titre laissait entendre que tous les Canadiens ressentaient la même chose. Le directeur des normes et pratiques journalistiques de CBC News a par la suite admis que l’article comportait de multiples erreurs.
Par la suite, un universitaire que la CBC avait interviewé pour faire ses reportages à sensation a déclaré à Epoch Times qu’au moment de l’interview, la CBC avait un « récit prédéterminé » (comme on peut le lire ici), ajoutant qu’elle avait « décidé à l’avance » qu’elle allait « faire un reportage sur Epoch Times de cette façon ». Il a dit : « Je ne serai pas particulièrement enclin à parler à la CBC de nouveau. »
Les reportages de la CBC ont aussi intentionnellement omis le fait crucial que notre organisation médiatique a été fondée par des immigrants chinois, alors que cela avait été indiqué à la journaliste. Il s’agit d’un détail important puisqu’il contredit l’affirmation selon laquelle nos propos seraient racistes envers les Chinois. Le Parti communiste chinois (PCC) ne représente ni le peuple chinois ni la Chine. Il est essentiel de comprendre cette différence. Cela permet d’éliminer les tensions raciales, car on en vient à comprendre que les critiques visent le PCC et non le peuple chinois.
La CBC a omis de rapporter les faits et d’examiner le contenu de notre échantillon. Elle a plutôt fait écho à des impressions ou des allégations non fondées au sujet du journal, de la part d’individus, dont un facteur. Elle a également accordé un temps très négligeable (3,5 %) à la partie défenderesse d’Epoch Times, ne la limitant qu’à une paraphrase de la citation de l’éditeur dans son programme télévisé phare The National.
En se référant aux questions qu’elle nous a posées, il semble que Mme Nicholson adopte un angle similaire à certains autres reportages médiatiques récents qui mettent l’emphase sur la rébellion d’un facteur refusant de livrer l’édition d’Epoch Times. Et ce, malgré les nombreuses déclarations de Postes Canada et du ministère compétent,selon lesquelles le journal est un produit postable. Un journalisme responsable aurait examiné les dangers que pourraient représenter la décision de quelques individus de censurer le courrier et de déterminer pour les autres ce qu’ils peuvent ou ne peuvent pas lire.
L’année dernière, à la suite de milliers de commentaires laissés par ses propres lecteurs sur la page web de son article, la CBC a modifié le titre de son article d’avril à trois reprises, et a supprimé des centaines de commentaires critiques à l’égard de l’article et de la CBC. Toutefois, l’article est resté inexact.
Malgré nos multiples requêtes et correspondances, la CBC a refusé de se rétracter ou de s’excuser pour son article. Pour aggraver les choses, la CBC a par la suite diffusé des reportages biaisés supplémentaires de Mme Nicholson sur Epoch Times et notre édition d’échantillonnage.
Malheureusement, certains de ces mêmes préjugés et erreurs des précédents reportages de la CBC du printemps 2020 ont été répétés ces derniers jours dans des reportages locaux de la CBC, au sujet de notre plus récente édition d’échantillonnage, ainsi que par d’autres médias.
Pour discréditer davantage Epoch Times, les reportages de la CBC ont tenté de présenter la pratique spirituelle pacifique Falun Gong, que les fondateurs d’Epoch Times pratiquent dans leur vie personnelle, sous un jour négatif. Dans une interview à la radio de la CBC, l’animatrice et son invité ont utilisé les mêmes termes calomnieux et discriminatoires qu’utilise le Parti communiste chinois pour justifier la persécution de cette pratique en Chine, persécution qui se poursuit à ce jour.
Cette fois-ci, afin de garantir au public l’accès à des faits précis, nous rendons publique notre dernière réponse à la journaliste de la CBC, Mme Nicholson, qui peut être lue ci-dessous.
Nous incluons également à sa suite certains de nos précédents reportages au sujet des rapports biaisés de la CBC sur Epoch Times.
Notre réponse à la requête de Katie Nicholson, journaliste de la CBC
22 janvier 2021 :
Bonjour Mme Nicholson,
L’échantillonnage des journaux est une pratique courante dans l’industrie de l’information pour le développement des affaires. Le Canada est un pays qui soutient la liberté de la presse, et nous pensons que les lecteurs sont assez sages pour juger par eux-mêmes si nos reportages sont véridiques. Il s’agit d’un pays libre. Les lecteurs méritent d’avoir la possibilité de connaître les différents styles et types de reportages qui sont disponibles à eux sur le marché des médias.
Epoch Times est un média indépendant et non partisan qui rend compte de manière honnête et objective et qui a remporté de nombreux prix de journalisme.
Il est encourageant de constater que la grande majorité des réactions que nous avons reçues de la part des lecteurs sur la récent échantillon a été positive.
Si les gens ne souhaitent pas lire notre journal échantillon, alors il est possible de le traiter comme tout autre matériel promotionnel.
La CBC est un média financé par le contribuable, à hauteur d’environ 1 milliard de dollars par an. Il semble que vous dépensiez l’argent des contribuables pour tenter de discréditer un média indépendant.
Il est également surprenant que vous remettiez en question la livraison de notre journal par Postes Canada. Si la distribution du courrier est laissée à l’appréciation du transporteur individuel en fonction de son impression de « haine », plus personne ne peut faire confiance à la poste. Si Postes Canada devait nous bloquer, ce serait le gouvernement qui censurerait un média indépendant. Ce serait une violation de la Charte des droits et libertés, qui garantit la liberté de la presse. Postes Canada a, à juste titre, respecté son mandat.
Nous sommes un média créé par des immigrants asiatiques. Il n’est pas envisageable que nous publiions un contenu anti-asiatique. Veuillez lire notre contenu plus attentivement.
Pour un média qui penche à gauche, nous pouvons sembler à droite. Nous pensons être neutres et indépendants. Nous ne sommes pas d’accord avec votre étiquette.
L’organisme de veille sur l’indépendance des médias AllSides nous évalue ainsi : « La cote de biais [‘biais rating’] d’Epoch Times ‘Penche à droite’, bien que peut être proche du centre. La plupart des reportages d’Epoch Times sont équilibrés ; un léger biais à droite est surtout affiché dans le choix des articles. »
Si vous constatez des problèmes dans nos reportages, alors, plutôt que de répéter des descriptifs négatifs à notre égard, indiquez-nous les phrases qui ne sont pas factuelles. Sur cette base, nous pouvons avoir une discussion raisonnable. Mais il semble que vous n’interviewez que ceux qui parlent de nous de façon négative et en utilisant des étiquettes, plutôt que de signaler des erreurs factuelles spécifiques.
Nous avons connu une croissance très rapide précisément parce que les lecteurs aiment nos reportages basés sur des faits. Mais en rapportant les faits, nous pouvons contredire certains récits communément acceptés, notamment sur la Chine. Nous lire peut être une expérience libératrice. Nous vous invitons à donner à vos lecteurs un compte rendu plus objectif de ce que nous sommes.
Vous trouverez ci-dessous certains de nos précédents reportages sur les reportages biaisés de la CBC, parus dans Epoch Times en avril et mai 2020 :
« Comment la CBC a failli à ses propres normes journalistiques dans son reportage sur Epoch Times »
« La CBC exclut intentionnellement des faits cruciaux au sujet d’Epoch Times et de notre couverture de la dissimulation de l’épidémie par Pékin » :
Au Canada, Epoch Times a récemment publié une édition spéciale sur la dissimulation de l’épidémie de coronavirus à Wuhan par Pékin – qui a conduit à la pandémie mondiale –, titrant à la une : « Comment le Parti communiste chinois a mis le monde en danger ». Il s’agit d’un recueil de huit pages d’articles d’Epoch Times, distribué dans certaines régions du Canada, car nous pensons qu’il contient des informations importantes que les Canadiens doivent savoir.
Le 29 avril, la CBC a publié un article délibérément trompeur au sujet de cette édition spéciale et exclut intentionnellement des informations cruciales que nous lui avons fournies avant sa publication. Le but premier semble être de discréditer Epoch Times et notre reportage sur le coronavirus.
Une copie du courriel envoyé à la journaliste de la CBC avant la publication est incluse à la fin de cet article.
Je suis réconfortée de voir que la plupart des commentaires des internautes sont critiques à l’égard de l’article de la CBC. Certains de ces commentaires sont ajoutés à la fin de cet article.
L’article de la CBC, qui titre « ‘Racist and inflammatory’ : Canadians upset by Epoch Times claim China behind virus, made it as a bioweapon » (« ‘Raciste et incendiaire’ : les Canadiens contrariés par Epoch Times qui prétend que la Chine est derrière le virus, qu’elle en a fait une arme biologique »), semble parler au nom de tous les Canadiens.
Comment la CBC sait-elle ce que la majorité des Canadiens pensent de notre couverture ?
L’article cite un individu qualifiant de « raciste et incendiaire » notre couverture de la responsabilité du Parti communiste chinois (PCC) dans la pandémie de coronavirus. Est-ce bien l’opinion de cette seule personne qui est à l’origine du gros titre parlant au nom de tous les Canadiens ?
Le titre se concentre sur une portion des huit pages de notre édition spéciale, soit sur un article d’opinion traitant de l’histoire de hauts fonctionnaires du PCC à propos du développement des armes biologiques. Toutefois, contrairement à ce que prétend le titre de la CBC, cet article d’opinion n’affirme pas que le laboratoire de Wuhan développe des armes biologiques.
La CBC a délibérément omis de préciser que des immigrants chinois ont fondé notre média, ce qui a été indiqué dans le courriel adressé à la journaliste. Nous sommes le média qui affirme que cette pandémie n’est pas la faute du peuple chinois, mais bien celle du Parti communiste. Le peuple chinois a été victime de la gestion de cette pandémie par le PCC. En expliquant le rôle du PCC, nous défendons vraiment le peuple chinois.
Également, faire connaître la vérité sur le rôle du PCC contribue à éliminer les tensions raciales.
La propagande du PCC est à l’origine de l’identification du PCC comme étant la Chine, et le PCC met continuellement l’emphase là-dessus, non seulement dans ses propres médias contrôlés par l’État, mais à travers les médias du monde entier.
La confusion engendrée par la fusion de ces deux entités très différentes – l’idée que parler du PCC revient à parler de la Chine – est utilisée pour renforcer le patriotisme du peuple chinois et susciter l’inquiétude des Occidentaux à l’égard du racisme, amenant ainsi les deux groupes à défendre le PCC. De cette façon, les motifs valables des gens sont utilisés pour être confondus au mauvais comportement du PCC. En lisant notre journal, il est possible de mieux comprendre ces questions.
L’article de la CBC manque d’équilibre. Les journalistes ont délibérément choisi quelques voix ayant des opinions partiales et les ont utilisées pour tenter de nous discréditer. L’article ne contient aucune opinion de personnes qui pourraient être en désaccord avec les critiques de la CBC.
En fait, de nombreuses personnes nous ont téléphoné ou écrit au sujet de cette édition spéciale, et nous constatons que de nombreux Canadiens apprécient notre travail. Parfois, certains nous appellent et sont très critiques, mais en leur parlant, nous constatons souvent qu’ils n’ont pas pris le temps de lire notre contenu, mais ont simplement jeté un coup d’œil sur la première page et ont sauté aux conclusions. En leur expliquant notre contenu et en leur suggérant de le lire, généralement ils changent d’attitude et d’opinion.
L’article de la CBC tente également de discréditer nos reportages sur la Chine. En fait, en raison du manque de transparence du régime de Pékin, la Chine est le sujet le plus difficile à couvrir. Cependant, nous avons plus de liens à l’intérieur de la Chine que d’autres médias et nous avons rapporté des informations vitales avant de nombreux autres.
Nous avons commencé nos reportages sur le virus de Wuhan le 31 décembre et, dès le début du mois de février, nous avons rapporté la dissimulation des chiffres réels. Si plus de personnes avaient lu Epoch Times, notre pays aurait pu être mieux préparé à l’épidémie. À notre avis, il n’y a pas assez de reportages véridiques sur la Chine et sur la nature du régime communiste au pouvoir.
L’article de la CBC utilise également la persécution contre le Falun Gong en Chine pour injustement nous présenter comme un média ayant un agenda, et déforme les faits de cette persécution.
Il est grossièrement irresponsable de dire : « Les pratiquants de Falun Gong disent que le gouvernement chinois les persécute et opprime leurs droits religieux », comme si les preuves de la persécution du Falun Gong se résumaient à ce que disent les pratiquants. En faisant une recherche simple, la CBC devrait savoir, par exemple, que le Congrès américain et le Parlement européen ont tous deux adopté des résolutions exhortant le PCC à mettre fin à la campagne de persécution et ont soulevé des inquiétudes ou condamné explicitement les prélèvements forcés d’organes qui visent les pratiquants de Falun Gong.
Au sujet de la persécution, une source de la CBC affirme qu’il pourrait y avoir « certaines exagérations », minimisant le fait que la sévérité de cette persécution a entraîné d’indicibles souffrances et des morts.
L’article contient également des erreurs factuelles simples. Par exemple, la première phrase nous décrit comme « un journal gratuit que l’on trouve généralement dans les boîtes de rue ». Depuis juillet dernier, au Canada, Epoch Times a cessé d’être distribué dans les boîtes de rue et n’est disponible que par abonnement payant et livraison à domicile.
Cet article affirme que la compagnie Shen Yun Performing Arts fait partie d’Epoch Media Group. Ce n’est pas le cas.
Nous croyons que différents lecteurs peuvent avoir différentes opinions, et que les lecteurs ont le droit de choisir le média qu’ils veulent lire. Le fait d’avoir plusieurs voix donne aux gens un plus grand choix et contribue à une société plus saine. Ce reportage de la CBC est destiné à nous faire taire. Au lieu de débattre de détails spécifiques au reportage ou de signaler d’éventuelles erreurs, elle cite quelques voix détractives pour nous discréditer.
Nous avons reçu de nombreux prix pour nos reportages, notamment de la Société des journalistes professionnels et de la New York Press Association.
Nous avons également reçu un prix national pour notre couverture du SRAS au Canada, après avoir été l’un des premiers médias à faire connaître cette histoire en 2003 – trois semaines avant que le régime chinois n’admette l’existence de l’épidémie.
Cindy Gu est la responsable de la publication des éditions canadiennes d’Epoch Times.
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L’édition spéciale peut être téléchargée ici (en anglais).
Courriel envoyé à la journaliste de la CBC avant la publication
Le courriel comprend un message à la journaliste de la CBC, des informations à noter et des informations sur l’édition spéciale.
Bonjour Katie,
Je vous remercie pour cette enquête.
1) Epoch Times a été fondé par des immigrants chinois en Amérique du Nord, qui ont fui la persécution communiste dans leur pays d’origine. Tous nos rédacteurs et journalistes ont été arrêtés en Chine, certains ayant été condamnés à de longues peines de prison et à des tortures brutales. Nous avons des liens en Chine avec des personnes qui fournissent des informations exclusives sur lesquelles nous faisons des reportages. Par exemple, veuillez trouver ici et ici deux articles récents sur l’épidémie du virus, basés sur des documents internes du gouvernement qui ont été divulgués à Epoch Times. Au cours des deux dernières décennies, Epoch Times a publié de nombreux articles importants sur la Chine.
2) Le 31 décembre 2019, nous avons commencé à couvrir la situation inquiétante du virus. Début février, bien avant les autres médias, nous avons rapporté que le nombre réel de décès et d’infections en Chine était au moins 10 à 20 fois supérieur aux chiffres officiels du gouvernement chinois. Si plus de personnes avaient lu nos articles, le monde aurait été mieux préparé à l’épidémie. Une information opportune peut sauver des vies.
3) Dans certaines régions, Epoch Times a récemment rassemblé des articles « échantillonnés » pour offrir au public une édition spéciale sur la dissimulation de Pékin ayant conduit à la pandémie mondiale, car nous considérons que cette information doit être connue des Canadiens. Nous considérons cet échantillonnage comme un acte de bonne citoyenneté.
L’échantillonnage consiste à distribuer des exemplaires du journal dans des quartiers spécifiques. Il s’agit d’un moyen standard de faire connaître la marque et de recruter de nouveaux abonnés.
4) Certaines personnes peuvent avoir confondu, à tort, les critiques envers le Parti communiste chinois (PCC) avec le peuple chinois. Le Parti communiste chinois ne représente ni le peuple chinois ni la Chine. Il est essentiel de comprendre cette différence afin d’éliminer les tensions raciales, car on en vient ainsi à comprendre que les critiques visent la gestion du virus par le PCC et non le peuple chinois.
La situation actuelle confronte le PCC aux peuples du monde – qu’ils soient en Chine ou à l’étranger. Le peuple chinois et les Canadiens sont tous deux victimes de la dissimulation du PCC.
Nous ne sommes pas les seuls médias à mettre en évidence la distinction entre le PCC et la Chine. Veuillez prendre note de ces titres récents : Washington Post : « Don’t blame ‘China’ for the coronavirus – blame the Chinese Communist Party » (ne blâmez pas la Chine pour le coronavirus, mais plutôt le Parti communiste chinois) ; Globe and Mail : « The coronavirus exposes the lie at the heart of Communist China » (le coronavirus révèle le mensonge au cœur de la Chine communiste) ; National Post : « Beijing’s communist regime is the biggest ‘China virus’ threatening our survival » (le régime communiste de Pékin est le plus grand ‘virus de la Chine’ menaçant notre survie).
5) En ce qui concerne le laboratoire de Wuhan, il s’agit d’une petite partie de notre édition sur le coronavirus. La Chine a fait taire les premiers informateurs, a détruit des échantillons et falsifié des données. Comme beaucoup d’autres, nous avons simplement posé des questions. Dans le passé, les hauts responsables militaires du PCC parlaient ouvertement du développement des armes biologiques. Que le virus soit issu d’une manipulation humaine ou non n’a été ni prouvé ni réfuté à ce jour.
Dans notre reportage, nous soulevons des questions, l’origine naturelle du virus n’a pas été exclue, ni sa fabrication n’a été affirmée. Ce reportage est rigoureux au sens où il ne donne aucune conclusion définitive sur son origine. Il présente des faits qui étaient connus ainsi que l’opinion d’experts.
6) Alors que la plupart des journaux connaissent une baisse de leur tirage, Epoch Times a plutôt connu une croissance ces dernières années, allant à contre-courant de cette tendance.
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À noter :
En 2003, Epoch Times a été l’un des premiers médias à rendre compte de l’épidémie de SRAS, trois semaines avant que le régime chinois n’admette publiquement l’existence de l’épidémie. Notre couverture précoce a valu à notre édition chinoise un prix national décerné par le Conseil national de la presse et des médias ethniques du Canada.
Selon une récente étude de l’université de Southampton, si « des interventions non pharmaceutiques, telles que le dépistage précoce, l’isolement des cas, les restrictions de voyage et un cordon sanitaire […] avaient été mis en place une semaine, deux semaines ou trois semaines plus tôt, le nombre de cas aurait pu être réduit de 66 %, 86 % et 95 % respectivement, limitant considérablement la propagation géographique de la maladie. »
Le Dr Shawn Whatley, ancien président de l’Association médicale de l’Ontario, a déclaré : « C’est dans le journal Epoch Times que j’ai pris connaissance pour la première fois des ravages causés par l’agressif nouveau virus de Wuhan. Félicitations à ET pour avoir fait ce pour quoi nous payons les ministères de la Santé des milliards de dollars. »
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À propos de l’édition spéciale :
Notre édition spéciale présente une partie de nos reportages sur le virus ayant contaminé la planète, menaçant gravement la santé et le mode de vie des gens. De nombreux rapports et études, et même des commentaires de la part des gouvernements, ont souligné que, si dès le début, le régime communiste chinois avait été transparent au sujet de l’épidémie et des risques, de nombreuses vies auraient pu être sauvées et les dommages causés aux économies auraient été moindres.
L’édition spéciale se penche sur des sujets tels que la manière dont la dissimulation du Parti communiste chinois a conduit à une pandémie, la manière dont le régime a persécuté les professionnels de la santé en Chine qui ont tenté de sonner l’alarme, la manière dont il continue de cacher la véritable ampleur de la pandémie et le nombre de décès en Chine, et la manière dont il a lancé une campagne mondiale de désinformation pour rejeter la responsabilité de la pandémie sur d’autres pays.
Cordialement,
Cindy Gu
Directrice générale d’Epoch Times Canada
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Une sélection de commentaires des lecteurs sur l’article de la CBC :
– Brad Mercier
– Il y a 17 minutes
Je suis réconforté de voir que la plupart des commentaires sont critiques de cet article de la CBC et de la façon dont il défend la critique légitime du PCC. La désinformation et le contrôle du récit sont courants chez notre diffuseur national, et ceci est un exemple de plus.
– John Burnaby
– Il y a 22 minutes
De nombreux médias, dont la CBC, ne comprennent tout simplement pas. Le PCC est une organisation malfaisante. Il cherche son propre intérêt, au détriment de tout et de tous. Le Canada ne doit pas le considérer comme un ami, mais comme un adversaire – tout comme la Russie, la Corée du Nord, etc.
– Mark Williamson
– Il y a 23 minutes
Cet article a été rapidement mis à la poubelle, et à juste titre. Veuillez ne pas utiliser le terme « Canadiens » lorsque vous ne parlez que d’une poignée de personnes qui partagent votre point de vue.
– Sandra Rivera
– Il y a 1 heure
La CBC doit faire l’objet d’une enquête pour avoir écrit un aussi flagrant article de propagande du Parti communiste chinois. Désinformation et déclarations trompeuses.
– Mary Lucas
– Il y a 4 minutes
Je trouve qu’Epoch est l’une des sources d’informations les plus objectives et les plus fiables. Ils n’aiment pas le Parti communiste chinois et ils le disent clairement. En revanche, je trouve beaucoup de désinformation provenant des principales sources d’informations canadiennes. Je suis également consternée que la CBC semble penser que les postiers devraient être d’accord avec le contenu de ce qu’ils distribuent. Cet article semble être conçu comme un article de diffamation envers Epoch Times.
– Sandra Rivera
– Il y a 14 minutes
J’ai tapé « CBC » et je suis tombé sur cet article. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait du site web de la China Broadcasting Corporation.
– Fred Thiolla
– Il y a 24 minutes
Le titre d’Epoch Times est « Comment le Parti communiste chinois a mis le monde en danger ».
Maintenant, dites-moi comment QUICONQUE pourrait-il interpréter cela comme une incitation à la haine ou au r*cisme ? Il s’agit d’une tentative absolument ridicule de défendre le PCC. L’article devrait être critiqué s’il revendiquait de fausses déclarations, mais pas pour avoir remis en question Pékin.
– Elias Eliot
– Il y a 1 heure
Le titre affirmant que « les Canadiens sont contrariés » est extrêmement trompeur. Il serait peut-être plus approprié de dire « un certain Canadien ». Mais, depuis trop longtemps, l’intégrité des journalistes est en déclin et, malheureusement, les choses ne cessent d’empirer.
– Mike Smith
– Il y a 48 minutes
Merci à Epoch Times d’avoir au moins ouvert la discussion et de nous rendre notre droit de poser des questions.
– Charels Latner
– Il y a 28 minutes
La vérité ne sera pas étouffée, merci à Epoch…
Et oui, merci à la CBC pour avoir fait connaître aux Canadiens cette excellente publication.
De manière tordue, mais tout de même,
Merci.
– Greg Dear
– Il y a 1 heure
En résumé, cet article tente de nous convaincre que critiquer le Parti communiste chinois (PCC) revient à critiquer le peuple chinois et, même, à être raciste envers le peuple chinois. Supposons que nous le croyions. Les questions sont les suivantes :
Critiquer le gouvernement iranien revient-il à être raciste envers le peuple iranien ?
Critiquer le gouvernement nord-coréen, c’est être raciste à l’égard du peuple coréen ? etc.
– Mike Smith
– Il y a 18 minutes
La démocratie se construit sur le droit de poser des questions et la liberté d’avoir des opinions différentes, même si vous n’êtes pas d’accord avec elles. Nous ne devons jamais craindre ou, pire encore, essayer d’écraser les opinions de qui que ce soit. Si elles sont complètement fausses, nous devons avoir la foi que la vérité l’emportera, et elle l’emportera, mais seulement si nous sommes prêts à explorer toutes les possibilités.
Les allégations gratuites de racisme […] sont un moyen lâche d’essayer de se défendre.
– Brian Robertson
– Il y a 34 minutes
L’accusation de racisme a été tellement surutilisée, et si abusivement, que le terme n’a plus de sens.
Et l’accusation d’être incendiaire ?
Vous vous moquez de moi.
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Epoch Times a été fondé en 2000 en Amérique du Nord par des immigrants chinois et a été à l’avant-garde de l’information non censurée sur la Chine, dévoilant certaines des histoires les plus importantes sur la Chine au cours des deux dernières décennies. Il a été l’un des premiers à rendre compte de l’épidémie de SRAS en 2003 et a remporté un prix national au Canada pour cette couverture.
Depuis son lancement, le journal indépendant a été la cible de multiples attaques et interférences de la part du régime communiste chinois. L’année dernière, la presse de son bureau de Hong Kong a été incendiée par des intrus masqués au plus fort des protestations dans cette ville. Epoch Times pense que le Parti communiste chinois était derrière l’attaque dans le but de faire taire l’organe d’information.
Le journal imprimé d’Epoch Times est disponible en anglais par abonnement dans tout le Canada et les États-Unis. Sa version en ligne est disponible en français, en anglais, en espagnol, en italien, en allemand, en chinois et dans 17 autres langues.
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