Dans une étude publiée dans la revue médicale américaine Medicine en février dernier, le port du masque a été remis en cause dans sa protection contre le coronavirus. Selon ses résultats, le masque aurait même des effets contraires à ceux recherchés, augmentant ainsi le nombre de décès liés au Covid-19 – causé par le virus du PCC (Parti communiste chinois).
Zacharias Fögen, docteur allemand, est l’auteur d’une étude intitulée The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate (L’effet Foegen. Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité de COVID-19). Cette étude indiquerait donc que le port du masque serait en cause dans l’augmentation du nombre de décès lié au Covid.
« Le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50% »
Pour effectuer son étude, le médecin allemand a cherché à savoir si le port obligatoire du masque avait eu un impact sur le taux de mortalité par cas au Kansas, durant une période allant du 1er août au 15 octobre 2020. Si l’étude a été réalisée dans cet État américain, c’est parce que les comtés étaient libres d’imposer ou non le port du masque. Seulement 24 comtés l’avaient rendu obligatoire, les 81 autres s’y étaient en revanche opposés.
La principale conclusion de cette étude va à l’encontre des discours tenus jusqu’à présent. « Contrairement à la pensée admise selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques » – ceux-ci étant normalement censés réduire les taux d’infection – « les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas », est-il indiqué.
« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50%, par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure », révèle l’étude, qui ajoute que les virions pourraient « probablement expliquer l’augmentation du risque relatif suite à l’obligation du port du masque ».
Les virions du Covid-19 se propageraient plus profondément dans les voies respiratoires
« Les virions qui pénètrent dans le tissu du masque, ou ceux qui sont recrachés sous forme de gouttelettes et qui imprègnent le tissu, après évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hyper-condensées ou les virions purs (virions ne se trouvant pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont ré-inspirés depuis une très courte distance lors de l’inspiration », détaille encore l’étude.
La théorie baptisée « effet Foegen » suggère que « les virions du Covid-19 se propagent plus profondément dans les voies respiratoires en raison de leur petite taille », précise l’article relatif à cette étude. « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale », souligne-t-elle.
« Ces résultats suggèrent que l’utilisation d’un masque pourrait constituer une menace encore inconnue pour l’utilisateur au lieu de le protéger, ce qui fait du mandat des masques une intervention épidémiologique discutable », conclut l’étude.
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