Colin Powell est décédé. Il souffrait depuis des années d’un myélome multiple, un cancer du sang ainsi que de la maladie de Parkinson. Pourtant, selon les médias (citant sa famille), la véritable cause de sa mort relève d’une « complication » due – évidemment –au COVID-19. À noter qu’il était entièrement vacciné. Par ailleurs, il allait recevoir sous peu une injection de rappel, mais finalement, son système immunitaire affaibli a fait défaut.
Les éloges ne manqueront pas envers le général Powell, ancien secrétaire d’État, qui a servi efficacement les deux présidents Bush dans diverses fonctions militaires et civiles. Mais sa mort survient en pleine polémique biomédicale et politique sur la gravité de la menace posée par le virus du PCC à l’origine du COVID-19 et elle nous renvoie avant tout vers la destruction sociale et économique que la panique suscitée par la pandémie continue de provoquer.
En effet, le fait que le général soit mort « du COVID » – malgré son statut vaccinal – est l’indice sans équivoque d’une vérité qu’il est temps d’assumer : les vaccins ne fonctionnent pas.
S’ils étaient efficaces, s’ils empêchaient réellement quiconque de contracter la maladie, alors le général Powell serait encore en vie et ses médecins seraient aux prises avec ses autres problèmes de santé. Mais ce n’est pas le cas et ils n’en sont plus là.
N’attendons pas des médias, ces sous-fifres corrompus de gouvernements douteux qu’ils admettent la médiocrité des vaccins. Quelques heures à peine après la mort du général Powell, les médias américains clamaient à l’unisson que les vaccins ne pouvaient en aucun cas être remis en question pour leur performance.
USA Today : « La mort de Colin Powell est l’exception parmi les vaccinés et non la preuve que les inoculations ne fonctionnent pas. »
CNN : « Le fait que des personnes vaccinées meurent du COVID-19 ne signifie pas que les vaccins sont inefficaces. »
WUSA9 : « La mort du général Colin Powell ne prouve pas que les vaccins COVID ne fonctionnent pas. »
Le battage médiatique
Qui devons-nous croire ? Les médias ou nos yeux désabusés et notre bon sens ? Depuis près de 18 mois, nous sommes soumis à une campagne médiatique toujours plus frénétique, à la demande d’agents politiques, visant à convaincre les populations que les vaccins encore expérimentaux de Pfizer et Moderna, qui s’apparentent davantage à la thérapie génique qu’aux vaccins traditionnels, sont la clé pour stopper le COVID.
L’enthousiasme officiel qu’ils suscitent n’est en aucun cas lié au fait qu’ils augmentent considérablement les revenus et les bilans des entreprises pharmaceutiques, qu’ils aident et encouragent les gouvernements à s’emparer de pouvoirs inconstitutionnels, non !
Les médias ont entonné les ordres des gouvernements sans la moindre remise en doute depuis l’apparition du COVID, il était au début question de « deux semaines pour ralentir la propagation », puis, ensuite, de « quinze jours pour aplanir la courbe ». Il a fallu dès lors préserver « une distance sociale d’un mètre cinquante », quand est venue l’heure du « Lavez-vous les mains dix fois par jour ! » et du très fameux « Portez un masque ! », suivis ensuite des « Ne submergez pas les hôpitaux ! », « Faites votre piqûre ! », « Faites votre deuxième piqûre ! », « Faites une piqûre de rappel ! », et maintenant « Peu importe combien de piqûres vous recevrez, continuez à vous faire piquer jusqu’à ce que votre président vous dise d’arrêter ! »
Si un vaccin dont on vantait l’efficacité à près de 100 % lors de son introduction nécessite maintenant une série de rappels à l’infini pour avoir le moindre effet, que faut-il en penser ?
On se souviendra que les gouvernements ont appuyé sur le bouton « Panique ! » dès le début – de nombreux médecins, les informations, les responsables politiques ont alimenté une psychose sanitaire mondiale – exigeant des confinements anticonstitutionnels, des quarantaines absurdes, des restrictions de voyage, des vaccins obligatoires, des « passeports » vaccinaux et faisant la démonstration de leur pouvoir par autant de mesures aussi inutiles qu’ingrates, toutes destinées à punir les citoyens honnêtes. Dans quel but ?
Manipulations
Pourquoi ? Telle est la question centrale. Pourquoi cette insistance à maintenir le COVID à la une des journaux, jour après jour, en gonflant la menace d’une maladie respiratoire relativement mineure avec un taux de survie de plus de 98 % pour en faire le retour de la peste noire ? Pourquoi ce recul continu des objectifs à atteindre ? Ce calcul des décès au cas près ?
À quoi riment toutes ces « feuilles de route » visant à nous sortir des confinements ? Confinements qui d’ailleurs n’étaient pas nécessaires au départ. Pourquoi l’enrôlement des médias pour maintenir le public dans un chemin unilatéral au moyen d’affirmations de plus en plus invraisemblables sur une maladie qui, laissée à elle-même, aurait disparu depuis longtemps ?
Le faux postulat désormais admis de manière tacite, assimilé complètement par les populations, est que sans le redoutable COVID, nous pourrions tous vivre éternellement. Et que les non vaccinés, irradiant la mort par tous les pores de leur peau sont de dangereux meurtriers pour leurs voisins, bien que ce soit exactement ce que les vaccins « presque efficaces à 100 % » sont censés empêcher.
Après tout, grâce aux manœuvres politico-médicales de nos supérieurs, nous n’avons plus à nous préoccuper des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, du cancer ou du rhume – la grippe elle-même a disparu ! Nous n’avons plus à nous soucier de Noël ou du Nouvel An, de l’épanouissement de nos enfants, de l’instruction en classe, de la vertu civique, de l’histoire nationale, de vérités comme la différence entre les sexes, du plein-emploi, du cinéma, du sport, du culte religieux… Nous n’avons plus aucun souci.
Désormais, nous avons le privilège de pouvoir manifester, de côtoyer des policiers armés qui, lorsqu’ils ne sont pas licenciés, matraquent les militants. Nous pouvons participer au spectacle des villes qui s’échauffent et de l’effondrement de l’ordre public.
Parallèlement, tandis que la population est confinée ici ou là, des géants de la technologie comme Twitter, Google et Facebook se déchainent, bâillonnant la parole, détournant les informations personnelles pour les vendre au plus offrant, déplateformant les opposants, démonétisant les médias dérangeants, et dénonçant la désinformation sur la pandémie de COVID-19.
Pourquoi toutes ces histoires de croque-mitaines ? Quel est l’enjeu véritable ?
Il y a peut-être quelque chose, peut-être rien. C’est peut-être tout simplement dans la nature profonde de la classe politique.
Néanmoins, le COVID a quand même permis de démanteler les nations, changer les droits fondamentaux, normaliser les punitions arbitraires, anéantir l’économie, nuire aux défenses nationales, paralyser les forces de l’ordre, suborner les systèmes juridiques, déstabiliser les enfants, inculquer la peur et l’obéissance, encourager les voisins à se dénoncer mutuellement, refermer les frontières, retirer la souveraineté aux nations et rapprocher tous les pays du Grand Reset grâce auquel nous aurons tous l’énorme privilège de perdre tout ce que nous possédons.
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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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