L’épouse du « Roi » Pelé, décédé en décembre à l’âge de 82 ans, héritera de 30% de ses biens conformément à son testament qui mentionne également une femme qui pourrait être sa fille, a déclaré mardi à l’AFP l’avocat de la veuve de l’ancien footballeur.
Le triple champion du monde a spécifié dans sa donation que sa troisième et dernière épouse, Marcia Cibele Aoki, devait conserver 30% de ses biens, parmi lesquels « obligatoirement » la maison où ils vivaient à Guaruja, une station balnéaire de Sao Paulo, a déclaré l’expert médico-légal Luiz Kignel.
Son héritage comprend cette résidence, d’autres biens immobiliers et une participation dans la marque Pelé, a expliqué Me Kignel, qui a précisé que l’inventaire complet n’a pas encore été réalisé et qu’en conséquence le montant total de la succession n’est pas connu.
L’avocat a ajouté que le testament mentionne la possibilité que Pelé ait une fille non reconnue qui aurait droit à une partie des 70% restants de la succession, qui ont été réservés aux sept autres enfants de l’ex-joueur légendaire. « Il a indiqué l’éventualité de l’existence d’une autre fille, dont la reconnaissance dépendra d’un test ADN qui n’a pas pu être effectué (sur Pelé) en raison de la pandémie et de son état de santé », a-t-il expliqué. C’est une Brésilienne, selon Me Kignel, qui demande à être reconnue comme sa fille et dont on ne sait pas grand chose sinon qu’elle a saisi la justice brésilienne pour une recherche en paternité.
En septembre 2022, un tribunal de Sao Paulo a ordonné à Pelé de se soumettre à un test ADN, selon le site Internet G1. Ce dernier devra désormais être effectué sur l’un de ses enfants reconnus. Cette femme serait le huitième enfant de la légende brésilienne du football, décédé d’un cancer à Sao Paulo le 29 décembre.
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