Le président américain Donald Trump a annoncé le 14 novembre la venue de Sidney Powell, ancienne procureure fédérale qui représente l’ancien conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn, dans l’équipe juridique de sa campagne de réélection.
Le président a également fait savoir que Joseph diGenova, Victoria Toensing et Jenna Ellis ont rejoint l’équipe juridique dirigée par son avocat personnel, Rudy Giuliani.
« Je me réjouis que le maire Rudy Giuliani soit le fer de lance de l’effort juridique déployé pour défendre NOTRE DROIT à des ÉLECTIONS LIBRES et ÉQUITABLES ! Rudy Giuliani, Joseph diGenova, Victoria Toensing, Sidney Powell et Jenna Ellis, une équipe vraiment formidable, qui s’ajoute à nos autres merveilleux avocats et représentants ! » a écrit le président Trump sur Twitter.
Sydney Powell a organisé un retour en force dans l’affaire Flynn. Depuis qu’elle a repris l’affaire, le ministère de la Justice a décidé d’abandonner les charges contre M. Flynn. Un juge fédéral n’a pas encore statué sur cette demande.
Sydney Powell a répondu à l’annonce de Donald Trump en tweetant le mot clé #ReleaseTheKraken.
Selon l’animateur d’une émission de radio conservatrice, Mark Levin, des dizaines d’avocats se portent volontaires pour aider à l’effort juridique de Donald Trump.
La campagne Trump et des groupes tiers ont d’importants litiges électoraux en cours au Nevada, en Arizona, au Michigan et en Pennsylvanie. La Géorgie procède à un recomptage manuel des voix de l’élection présidentielle, bien que la validité du recomptage soit contestée sans que les signatures des électeurs soient vérifiées. Le Wisconsin procédera à un recomptage une fois qu’il aura confirmé les résultats de l’élection.
Les poursuites judiciaires de la campagne allèguent en partie que les observateurs républicains n’ont pas eu un accès adéquat pour observer le processus de comptage des votes.
« Il y a des preuves énormes de fraude électorale généralisée en ce sens qu’il existe des preuves irréfutables qui démontrent que nos observateurs républicains n’étaient pas autorisés à être présents dans les salles de dépouillement. Michigan, Pennsylvanie, Géorgie et autres. Inconstitutionnel ! » a écrit le président Trump sur Twitter.
Les poursuites judiciaires de la campagne incluent également la contestation des votes comptabilisés par Dominion Voting Systems. Donald Trump et Sydney Powell ont tous deux partagé des vidéos sur Dominion le 14 novembre. Dans l’une de ces vidéos, le PDG de l’entreprise témoigne que les machines à vote électroniques Dominion contiennent des composants qui proviennent de Chine. Une autre vidéo présente une partie d’un reportage de NBC News sur la façon dont les pirates informatiques ont accédé aux systèmes Dominion lors de la conférence annuelle de piratage de DEF CON.
On ne sait pas exactement quand Mme Powell s’est jointe à l’effort juridique de la campagne, mais elle semblait être de la partie dès le 11 novembre, lorsqu’elle a répondu à un message Twitter de Shiva Ayyadurai, un ingénieur qui a reçu un doctorat de l’Institut de technologie du Massachusetts. Dans le tweet, M. Ayyadurai a affirmé qu’une analyse des décomptes de votes dans le Michigan suggérait qu’un algorithme avait été utilisé pour commuter 69 000 votes.
« Vous avez absolument raison. Peut-être plus. Nous serons en contact dès que possible », a écrit Sydney Powell.
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