Dans le programme de séries vidéo The Dark Origins of Communism (Les origines obscures du communisme) Joshua Philipp, journaliste d’investigation d’Epoch Times, dresse une image révélatrice des origines du communisme et des résultats terrifiants qui ont suivi son apparition. Ce programme informatif d’EpochTV présente les principes idéologiques sur lesquels reposent le marxisme, le communisme et sa première étape – le socialisme (d’après la théorie marxiste-léniniste) – et examine comment les mouvements inspirés par l’idéologie communiste créent des divisions et des conflits dans notre société dans le but d’atteindre leurs objectifs.
Le communisme promet une utopie séduisante, mais apporte un cauchemar infernal
Le communisme poursuit une utopie d’une société idéale imaginée en créant en réalité une dystopie régie par un pouvoir totalitaire. Karl Marx, le père du marxisme, croyait que la lutte menait à l’évolution sociale. Son système communiste a tenté d’inciter à la lutte pour accélérer le progrès – un processus qui demandait de fomenter un effondrement économique, social et moral.
Cela se voit dans l’horreur pure et simple que le communisme a apportée dans toutes les régions du monde qu’il a touchées. Au cours des 100 dernières années, les régimes communistes ont fait entre 100 et 150 millions de victimes dans leur quête du « progrès ». Le communisme a créé des sociétés où le pouvoir est détenu par un petit groupe qui asservit des nations entières et où le meurtre, les camps de rééducation par le travail, la censure et l’esclavage font partie de la vie quotidienne.
Le désir du communisme pour le sang et la destruction sans fin est évident dans toutes les formes qu’a connues le monde. Aujourd’hui, bien que les noms des organisations et des mouvements inspirés par l’idée communiste changent, l’histoire nous dévoile sans cesse la vérité sur le communisme : bien qu’il promette le paradis sur terre, il apporte au contraire un véritable enfer. L’oppression et l’horreur s’installent chaque fois que la tradition et les bases morales de la société sont détruites et que les idées « éclairées » cherchent à priver les humains de leurs droits et libertés et à les remplacer par une autorité gouvernementale.
Supprimer la morale et la spiritualité
L’un des principaux objectifs du communisme est de faire disparaître les valeurs morales qui existent dans une société. Pour ce faire, le gouvernement doit les remplacer par son propre code d’éthique, qui consiste à obéir avant tout au Parti et à suivre sa ligne générale. Selon le concept communiste du matérialisme dialectique, tout dans l’univers se résume à la « matière en mouvement » – ce qui signifie que les êtres humains ne sont qu’un simple amas de cellules physiques.
Le communisme inculque aux gens de percevoir les choses d’une manière inverse. En apparence, il prétend donner du pouvoir aux gens pour qu’ils soient heureux. Au lieu de cela, il les prive de tout pouvoir pour les soumettre. C’est pourquoi le communisme cherche agressivement à détruire la spiritualité. Il doit le faire parce que la spiritualité elle-même constitue pour lui une menace. Même la notion d’âme menace le communisme parce qu’une âme est porteuse d’une orientation morale intérieure qui nous est propre. Si l’orientation morale d’une personne contredit ce que le communisme dicte, c’est une menace. Le communisme ne veut pas que les gens aient des convictions. Il veut au contraire qu’ils suivent les ordres. Les communistes amènent la société à croire que la moralité, la croyance et l’éthique sont des choses mauvaises, tandis que la famine, l’oppression et la lutte sont des choses bonnes – lorsqu’elles servent les intérêts du Parti.
Par conséquent, le communisme détruit toute morale, croyance, institution, hiérarchie et valeur traditionnelle. Il tâche de convaincre les gens qu’il a l’intention de leur apporter le bonheur, mais ce bonheur ne peut être atteint qu’après la suppression ou l’éradication d’une partie de la société. Par conséquent, il offre un bonheur conditionnel au détriment de la moralité de chacun.
Comme l’a expliqué le célèbre écrivain et dissident du régime soviétique Alexandre Soljenitsyne : « Les défaillances de la conscience humaine, privée de sa dimension divine, ont été un facteur déterminant dans tous les grands crimes de ce siècle. » Lorsque la croyance est détruite et que les fondements de la moralité sont renversés, le gouvernement devient le pouvoir suprême et le fondement de la moralité.
Déstabiliser la société par la division et les conflits
Le programme des vidéos d’EpochTV explique que ceux qui s’inspirent des idées communistes croient que le progrès ne peut être atteint que par la lutte. Ainsi, ils essaient d’accélérer le « progrès » en orchestrant la lutte. Leur manière d’y parvenir est assez simple. Le théoricien marxiste Gueorgui Plekhanov a expliqué que la dialectique communiste suit trois lois : identifier, contredire et « exclure le milieu ».
D’abord, ils « identifient » un problème de société. Ensuite, ils le « contredisent » en partageant ce problème en deux antagonistes extrêmes. Le problème choisi est alors polarisé et présenté aux médias – par l’intermédiaire des porte-parole de l’État – dans le cadre d’une campagne destinée à créer la division et provoquer la lutte. Dans cette campagne, l’objectif est « d’exclure le milieu », ce qui signifie qu’il n’y a aucune tolérance pour les modérés. En Union soviétique, Vladimir Lénine classait tous les gens en deux groupes : ceux qui soutenaient la révolution communiste bolchevique et ceux qui ne la soutenaient pas. Et ceux qui ne la soutenaient pas devaient être éliminés.
Les communistes favorisent les extrêmes, écartant intentionnellement la grande variété de points de vue modérés. La dialectique traditionnelle vise à aider les gens à comprendre la vérité en échangeant des idées différentes et en examinant les deux côtés d’une question. Cependant, le concept de matérialisme dialectique de Karl Marx, qui est au cœur du communisme moderne, fait le contraire. Il examine divers sujets de société et identifie les points de vue diamétralement opposés. De ces points de vue opposés, il forme ensuite sa propre vision communiste et la présente comme absolue et indiscutable.
Un contrôle total de la société
Dans un État communiste idéal, le gouvernement contrôle tout – que ce soit public ou privé. Alors que les socialistes modernes veulent se séparer des institutions défaillantes du national-socialisme (nazisme) et du fascisme, en réalité ils adoptent beaucoup des mêmes politiques interventionnistes et des mêmes idées sous-jacentes. Pour que le socialisme soit efficace, il doit déstabiliser l’ordre social existant en semant le chaos et la violence. Pour ce faire, il encourage intentionnellement les « crises » et pointe les « ennemis de classe » à blâmer afin que les gens en aient assez et acceptent un « nouveau » système – dont les socialistes s’assureront qu’il soit le leur.
Le programme de séries vidéo d’EpochTV montre que dans chaque cas réel de telle ou telle forme de régime communiste, ce régime prétend servir « les intérêts du peuple », alors que ce mensonge ne sert qu’à justifier son plan de construire un État autoritaire tout-puissant.
Emily Allison est une rédactrice pour Epoch Times et une journaliste politique indépendante.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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