Aujourd’hui, de Google à Facebook, en passant par Samsung ou Sony, tout le monde tente une incursion sur ce marché. Parmi tous les casques présentés et à venir, il y a un point principal à retenir, le type de casque. Il existe deux types de casque de réalité virtuelle : passif et actif.
Dans le premier cas, on place un Smartphone devant des lentilles et c’est alors le téléphone qui permet d’afficher les images. C’est le principe du Gear VR de Samsung, du Cardboard de Google et d’autres marques moins célèbres telles qu’Homido. L’avantage de cette technique est d’être moins onéreuse (entre 30 et 200 euros) et surtout totalement dépourvue de fils. En revanche, la puissance de calcul est largement inférieure, puisque c’est le Smartphone qui s’occupe de tout.
Les casques « actifs » disposent quant à eux d’écrans intégrés derrière les lentilles, les calculs sont effectués par un – gros – PC auquel est relié le casque par au moins un câble HDMI puisqu’aucune solution sans fil n’est à l’heure actuelle capable de gérer deux flux haute définition sans latence. Ces modèles actifs utilisent généralement des capteurs supplémentaires pour mieux calculer les mouvements de l’utilisateur et le situer dans l’espace. Cela permet par ailleurs de réduire ainsi l’effet de cinétose, c’est-à-dire les maux de cœur.
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