Un nouveau film de l’activiste conservateur Dinesh D’Souza exposant le trafic de bulletins de votes dans les États‑charnières lors des élections de 2020 est sorti dans plus de 250 salles de cinéma le 2 mai.
Une foule d’environ 200 personnes a rempli un cinéma du comté de Macomb, dans le Michigan, pour visionner le documentaire de D’Souza intitulé « 2000 Mules ».
Le film peut être visionné en ligne depuis le 7 mai.
Le documentaire utilise les signaux des téléphones portables, le geofencing et les enregistrements de vidéosurveillance des urnes de vote par correspondance pour montrer que des intermédiaires rémunérés appelés « mules » ont illégalement recueilli et livré des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance dans les bastions démocrates d’une grande partie du pays lors de l’élection de 2020.
En se rendant à une représentation du comté de Macomb, un responsable informatique à la retraite, qui a demandé à ne pas être identifié, a déclaré à Epoch Times qu’il avait beaucoup entendu parler de fraudes présumées dans l’élection de 2020, mais qu’il avait vu très peu de preuves.
« En y allant, j’ai l’esprit ouvert », a‑t‑il annoncé. « Je n’ai pas encore vu suffisamment de preuves. »
En sortant du film, le même homme a déclaré à Epoch Times : « Je suis convaincu à 95 %. Je pense que les forces de l’ordre doivent poursuivre ces mules et prouver leur culpabilité devant les tribunaux. »
« Cela arrivera‑t‑il un jour ? Je n’en suis pas sûr, car trop de gens ne veulent pas que cela se sache. Ils sont trop nombreux à avoir trop à perdre si cela se produit. »
Jacob Ries, 13 ans, est venu voir le film avec ses parents et ses grands‑parents.
« Ce film est la boussole qui va orienter et influencer la jeune génération. [Ce film] m’a influencé dans la bonne direction », a‑t‑il déclaré à Epoch Times après avoir vu le film.
« Je connais la vérité maintenant. C’est la vérité que le gouvernement essaie de cacher. »
Scott, le père de Jacob, a trouvé le film « révélateur » et craint que « notre république constitutionnelle américaine ne s’effondre de l’intérieur ».
« Je n’aurais jamais pensé que nous vivrions un jour dans un pays qui ferait une chose pareille », a‑t‑il ajouté.
Sue Vandeberghe, la grand‑mère de Jacob, a déclaré : « Il ne s’agit plus de démocrates et de républicains. Il s’agit du bien et du mal. Il s’agit de sauver notre pays. »
« Oui, de sauver notre pays pour tous, même ceux qui ont l’esprit fermé et qui ne sont pas d’accord avec nous. »
De nombreux syndiqués à la projection
Gary Vallance, retraité, autrefois adhérent du syndicat des services publics et délégué républicain de la circonscription, a déclaré qu’il soutenait à 100 % M. D’Souza et ce qu’il faisait.
Au vu de la situation actuelle du pays, il a déclaré : « Je ne comprends pas pourquoi le syndicat promeut toujours les démocrates. »
Jason Mueller, adhérent de l’United Auto Worker (UAW) de Wales Township, a déclaré : « Je suis ici ce soir pour voir comment [ils y sont parvenus] et ce qu’ils ont réussi à voler lors des élections de 2020. »
Anthony Stella, adhérent de l’UAW du canton de Macomb, a déclaré : « Nous savons depuis longtemps que l’élection de 2020 a été volée. Je suis ici ce soir parce que je veux voir exactement comment ils ont fait. »
Phillip Sinta, adhérent de l’UAW de Ferndale et fervent partisan de Trump depuis 2016, a décrit M. D’Souza en ces termes : « C’est un franc‑tireur. Je lui fais confiance pour dire la vérité. J’ai vu tous ses films précédents. »
Kim Turcott a déclaré à Epoch Times : « Je suis heureuse qu’ils aient montré la géolocalisation. Nous en savons plus maintenant, après avoir vu le film. Je remercie le Seigneur pour les personnes qui continuent à mener ces enquêtes tous les jours. »
« Les urnes à distance sont mauvaises et doivent disparaître. Nous devons surveiller de plus près nos proches dans les maisons de retraite au moment des élections. »
Jill Rebar a admiré l’utilisation de la technologie pour fournir les détails de l’enquête et s’est demandé ce qu’elle pouvait faire pour aider.
« J’ai trouvé le film génial, intéressant et triste », a‑t‑elle déclaré.
Colleen Kendro a affirmé : « Tout le monde devrait voir ce film, peu importe pour qui vous avez voté. »
Paula Badalamente a commenté : « Les gens qui ne sont pas au courant de ces choses doivent être informés. »
Une poignée de bénévoles étaient devant le cinéma pour faire circuler une pétition demandant à ce que l’élection de 2020 soit invalidée dans le Michigan, où les activités illégales de 500 mules ont été découvertes dans le comté de Wayne.
Parmi eux, se trouvait le vétéran du Vietnam Dan Landon, de Saline.
Debout à l’extérieur du cinéma qui a projeté le film de D’Souza, Dan Landon, enseignant à la retraite, fait circuler une pétition pour invalider les résultats de l’élection de 2020. (Steven Kovac/Epoch Times)
M. Landon, un enseignant spécialisé à la retraite depuis 34 ans et adhérent du plus grand syndicat d’enseignants du Michigan, a déclaré qu’il n’était pas là pour voir le film, mais pour œuvrer au changement.
« Lors de l’élection de 2020, j’ai reçu trois demandes de bulletins de vote par correspondance envoyées à mon domicile avec les noms de trois personnes différentes – toutes censées vivre à mon adresse », a‑t‑il expliqué. « En tant que scrutateur républicain, j’ai été mis à la porte le soir de l’élection, et il a fallu un avocat pour me faire réadmettre. »
« Nous devons sauver notre pays et le ramener tel que Dieu l’a voulu. »
Première du film à New York
« 2000 Mules » a également été projeté dans un cinéma multiplex de Times Square à Manhattan, où le public a applaudi chaleureusement lorsque le générique de fin a défilé.
« Je pense que c’est merveilleux », a déclaré pour Epoch Times Linda Minarik, qui cumule deux activités, entraîneuse de fitness et correctrice.
Mme Minarik considère le documentaire comme « une autre voie » pour aborder la question de l’intégrité de l’élection de 2020.
Avant de voir le film, elle avait déjà des doutes sur l’élection, car elle avait déjà vu des preuves de certains écarts.
Elle est venue voir le film en espérant qu’il présenterait des arguments solides.
« J’espérais avoir des preuves. »
Le film en a apporté, a‑t‑elle conclu.
Asher Schwartz, qui n’a pas voulu donner plus d’informations sur sa personne, a qualifié le film de « stimulant ».
Avant de voir le film, il pensait déjà que le résultat des élections avait été influencé par des moyens illégaux.
« Si je devais parier ma vie là‑dessus, je dirais qu’elle a été volée », a‑t‑il déclaré.
Selon lui, les preuves présentées étaient convaincantes, mais il réserve tout de même son jugement final au jour où les preuves seront examinées par les forces de l’ordre.
Kelly M. s’est déclarée impressionnée par le film, même si elle estime qu’en montrant davantage de preuves à l’écran, il aurait été plus difficile de le contester.
Une femme, ne voulant pas être identifiée par crainte de perdre sa clientèle, a avoué espérer qu’un grand nombre de personnes viendraient voir le film.
Avant même d’avoir vu le film, elle était déjà convaincue du fait que les résultats des élections étaient illégitimes.
« C’était propice à la fraude », a‑t‑elle expliqué, en raison de l’utilisation généralisée et sans précédent des urnes de vote par correspondance.
S’interrogeant régulièrement sur le fait que Trump a obtenu des résultats nettement meilleurs en 2020 qu’en 2016 tout en perdant malgré tout, elle en est venue à la conclusion que cela « n’avait tout simplement pas de sens ».
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