Le Dr Robert Malone, qui a contribué à l’invention de la technologie de l’ARNm, a reproché aux gouvernements et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’avoir mené une campagne de désinformation pour la promotion des vaccins Covid-19 et d’avoir rejeté des « normes bioéthiques » établies de longue date.
« L’OMS [qui fait partie de ] l’ONU, les méga-ONG et les gouvernements du monde entier ont rejeté les connaissances auxquelles moi-même, mes pairs et mes collègues avons contribué pendant des décennies, sur la manière de procéder et d’agir sur les mesures à prendre pour s’assurer que nous disposons de produits sûrs et efficaces » comme les vaccins, a déclaré le Dr Malone dans un discours prononcé lors d’un événement à Portcullis House, l’un des bâtiments du Parlement britannique, le 4 décembre.
« En outre, ils ont rejeté les normes bioéthiques élaborées depuis la Seconde Guerre mondiale, à savoir le respect de la dignité humaine, la garantie que les êtres humains sont traités comme des êtres humains, que leur autonomie et leur souveraineté sont respectées, et qu’ils bénéficient d’un consentement éclairé. »
« Au lieu d’un consentement éclairé sur la vérité de ces produits et leur état de développement, leur état de développement immature, on nous a donné une série de mensonges. »
L’un de ces mensonges était l’affirmation selon laquelle les vaccins étaient « sûrs et efficaces ». Les autorités ont répété cette affirmation « encore et encore, sans préciser ce que cela signifiait. » Il s’agissait d’une technique de « programmation neurolinguistique ».
« Il s’agit d’opérations psychologiques. C’est de la propagande », a-t-il déclaré.
Le deuxième mensonge était l’affirmation que le contenu injecté stagnerait à l’endroit de l’injection, ce qui s’est également avéré faux, a ajouté le Dr Malone.
« Nous savions, et ils savaient, que ces produits se diffusaient dans tout le corps. Nous savions qu’ils ne restaient pas à l’endroit où ils étaient injectés. »
Le troisième mensonge concernait l’acide ribonucléique modifié, une molécule contenue dans les vaccins ARNm. Alors que l’on prétendait que ces molécules ne restaient dans l’organisme que pendant une courte période, il s’avère aujourd’hui qu’elles restent biologiquement actives dans l’organisme pendant une « période indéterminée » pouvant durer des semaines ou des mois.
Par exemple, les autorités sanitaires [les CDC (Centres pour la prévention et le contrôle des maladies) aux États-Unis ] affirment que l’ARNm des vaccins est « dégradé quelques jours après la vaccination et ne reste pas longtemps dans l’organisme. »
Cependant, une étude du 31 août a révélé la présence de protéines spike provenant des vaccins à ARNm dans les fluides biologiques des individus, même six mois après la vaccination.
Selon le Dr Malone, le public a également été soumis à un quatrième mensonge, à savoir qu’aucune personne ne serait en sécurité tant que nous ne serions pas tous en sécurité. « Cela faisait partie de la campagne de propagande visant à insister sur le fait que nous devions tous accepter ces produits », a déclaré le Dr Malone.
« Cela s’est fait, soit dit en passant, en violation de normes bien établies y compris par la coercition, la contrainte et l’incitation. Les glaces pour que les enfants acceptent leur piqûre, les hamburgers ou tout autre produit incitatif. Cela est illégal. »
Epoch Times a contacté l’OMS et les autorités sanitaires pour obtenir des commentaires.
Effets indésirables
Citant des données provenant de 700 à 1000 études évaluées par des pairs sur les vaccins ARNm, le Dr Malone a déclaré que ces produits « démontrent clairement une série d’effets indésirables ».
Parmi ces effets indésirables, on compte la myocardite, des dommages sur la santé reproductive, y compris des dommages sur les cycles menstruels chez les femmes, une coagulopathie ou une coagulation sanguine anormale, y compris des accidents vasculaires cérébraux, des dommages aux systèmes nerveux périphérique, oculaire et central, des dommages immunologiques et oncologiques, et la mort.
« En conclusion, nous sommes en présence d’un produit bâclé, d’une technologie bâclée, d’un manque de respect pour les êtres humains, en ne leur permettant pas un consentement éclairé. Ajoutons à cela la campagne de propagande la plus massive de l’histoire du monde moderne, activement déployée pour supprimer la capacité du public à avoir accès à la connaissance des risques d’effets indésirables », a affirmé le Dr Malone.
Il a demandé au gouvernement britannique et aux gouvernements du monde entier de mettre à la disposition de tous les données relatives à la recherche sur l’ARNm.
De nombreuses études indiquent que des personnes souffrent d’effets indésirables après avoir été vaccinées.
Une étude publiée en octobre suggère que les vaccins contre le Covid-19 pourraient déclencher des maladies rhumatismales inflammatoires à médiation immunitaire qui impliquent une inflammation se manifestant dans les articulations, les tendons, les os et les muscles et dont la cause est inconnue. Ces maladies comprennent des affections telles que l’arthrite, la vascularite, le lupus et la maladie de Still de l’adulte.
L’étude a montré que les patients ont développé des maladies rhumatismales en moyenne 11 jours après la vaccination. Si 27 % des patients ont connu une rémission totale de la maladie, 50 % d’entre eux ont vu leur état s’améliorer après un traitement. Sur les 271 patients étudiés, huit ont été admis en soins intensifs, et deux sont décédés des suites des symptômes.
La recherche a montré que les vaccins Covid-19 à ARNm peuvent réduire une bactérie intestinale bénéfique appelée bifidobactérie, dont la présence est associée à une plus grande immunité contre les agents pathogènes et le cancer.
Dans une récente interview accordée à l’émission American Thought Leaders d’Epoch Times, le Dr Ryan Cole, pathologiste clinique, a déclaré que la contamination de l’ADN dans certains vaccins à ARNm pourrait être liée à une augmentation de l’incidence des cancers, de la formation de microcaillots et des maladies auto-immunes.
« Ce qui me préoccupe le plus, c’est que des milliards de personnes à travers le monde ont reçu un produit manifestement contaminé par quelque chose qui n’aurait pas dû s’y trouver », a-t-il déploré.
Joseph Ladapo, chirurgien général de Floride, a demandé aux autorités sanitaires fédérales de fournir davantage d’informations sur la découverte de fragments d’ADN dans les vaccins Covid-19.
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