Un capitaine russe en état d’ébriété a fait s’écraser un cargo sur un pont sud-coréen, selon ce que montrent des photos et vidéos.
Des responsables ont déclaré à l’agence de presse Yonhap que le navire Seagrand de 6 000 tonnes avait heurté le pont de Gwangan à Busan vers 16 h 20 avant de faire demi-tour et de prendre la direction opposée.
Les autorités ont confirmé que le capitaine du navire était ivre, a rapporté Yonhap.
L’accident a endommagé le pont à deux étages, a déclaré la Garde côtière coréenne, ajoutant qu’aucun blessé n’avait été signalé.
Une vidéo d’un témoin oculaire filmé de loin montre le navire se dirigeant lentement vers le pont où passent des voitures.
La collision a écrasé une petite partie de la section avant du navire Seagrand et a semblé créer un trou dans le pont.
Un matelot de pont a également été vu prenant la fuite alors qu’une tour s’effondrait à l’avant du navire.
La circulation a ensuite commencé à ralentir dans la partie inférieure du pont à mesure que les conducteurs se rendaient compte de ce qui était en train de se passer. Certaines parties du pont ont été fermées à la suite de l’incident, a indiqué l’agence.
La Garde côtière a pu arrêter le navire et interroger l’équipage, ajoutant que le capitaine russe avait un taux d’alcoolémie de 0,086 %, alors que la limite légale est de 0,03 %.
« Un fonctionnaire de KCG a déclaré que la consommation d’alcool à bord d’un navire n’est pas condamnable par la loi tant que la personne ne dirige pas le navire », a rapporté Yonhap, ajoutant qu’il n’est pas clair si le capitaine était à la barre du navire pendant l’accident.
Les responsables ont également affirmé tenter de savoir quelle était la destination du navire.
Selon Yonhap, environ 40 minutes avant de s’écraser sur le pont, le navire avait également heurté un paquebot de croisière amarré au même port.
Les services portuaires étaient entrés en communication avec le navire pour le prévenir de la possible collision, mais le capitaine « comprenait mal l’anglais », a rapporté le journal télévisé russe RBC.
Au total, 1 400 tonnes de tuyaux étaient transportés par le cargo. Au matin, l’équipage du navire a été en mesure de décharger les tuyaux au port, a également rapporté RBC.
La télévision russe dresse la liste des villes américaines pour une attaque nucléaire
Dans un autre incident étrange, la télévision d’État russe a énuméré des cibles potentielles aux États-Unis, advenant qu’une guerre nucléaire éclate, affirmant que de nouveaux missiles russes pourraient atteindre les villes américaines en quelques minutes seulement.
Selon l’agence de presse Reuters, qui a qualifié les reportages « d’inhabituels, même selon les normes parfois belliqueuses de la télévision publique russe », ils ont été diffusés le dimanche 24 février.
Les cibles comprenaient le bâtiment du Pentagone à Washington, ainsi que le Camp David, la retraite présidentielle de longue date située dans le Maryland. Selon le rapport, Fort Ritchie dans le Maryland, la base militaire de McClellan en Californie et la station de radio navale de Jim Creek dans l’État de Washington figuraient également sur les cartes d’attaques nucléaires potentielles.
Vladimir Poutine a déclaré qu’il ne sera pas le premier à déployer des missiles hypersoniques, à portée intermédiaire, en Europe, mais il a mis en garde que la question se poserait si les États-Unis installent des missiles similaires sur le continent européen.
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