Avez-vous vu ces imbéciles du Forum économique mondial (FEM) expliquer comment ils vont contrôler le monde ? C’est embarrassant, et les gens de nombreux pays s’en sont indignés. À juste titre.
La façon dont les gens réagissent est très simple : si vous avez participé au Forum économique mondial, vous avez peut-être magouillé, ou pire, mais maintenant nombreux sont ceux qui savent que vous êtes méchant. En termes de relations publiques, vous êtes grillé. Cela s’applique à chacun d’entre eux.
Pauvre gouverneur Brian Kemp de Géorgie. C’est un bon gars, grâce à lui, la Géorgie a été le premier état à rouvrir les commerces pendant la crise du Covid (ce que Trump lui a reproché). Mais il s’est vraiment trompé d’endroit. Il a décidé de se présenter à Davos parce qu’il a reçu l’invitation. Il a été flatté et a décidé d’y aller. Immédiatement, le toit de la maison lui est tombé dessus. Ses partisans se sont retournés contre lui, et sur la défensive, il a dû expliquer qu’il y allait que pour dire la vérité au pouvoir.
Oh bien sûr.
Il y a une raison pour laquelle George Soros et Bill Gates n’y sont pas allés. Et il y a une raison pour laquelle Elon Musk a ouvertement dénoncé le FEM. L’opinion publique est définitivement opposée à la classe dirigeante, et rien n’incarne mieux la classe dirigeante que le FEM. Son Grand Reset tant annoncé, qui doit rapprocher le public et le privé, affiche pour l’heure un bilan lamentable.
Les populations sont extrêmement en colère. Partout dans le monde. Le FEM est l’événement qui justifie cette colère.
Nous avons beau parler de la censure – et elle est bien réelle – nous avons actuellement accès à la vérité d’une manière qu’aucune personne vivante n’a jamais vue. Nous avons Epoch Times et de nombreuses autres sources. Nous avons aussi Substack. Et Rumble. Et Gettr et Gab. Et Twitter Spaces, mon récent favori. Grâce à ces lieux gratuits, nous entendons des choses que nous n’avions jamais entendues.
Rappelez-vous que lorsque la radio est apparue, la réaction initiale du gouvernement a été de créer la Commission fédérale des radios pour la contrôler au cas où elle deviendrait incontrôlable. Cette commission est devenue la Commission fédérale des communications qui a pris le contrôle de la télévision. Ces contrôles se sont ensuite relâchés avec la généralisation de la radio CB.
Avec l’arrivée d’Internet, nous avons connu plus de liberté. Trop de liberté du point de vue du gouvernement. La censure qui, nous le savons maintenant avec certitude, domine toutes les plateformes Big Tech n’était qu’une extension d’une pratique très ancienne. Nous n’avons pas connu de véritable liberté d’expression dans ce pays depuis des générations.
Mais avec la multiplication des plateformes, avec ce journal et avec Twitter et d’autres, nous faisons l’expérience d’un déluge de vérité. Internet redevient ce qu’il était censé être.
Et faisons un clin d’œil à Tucker Carlson sur Fox. Tous les soirs, il lâche des bombes de vérité. La semaine dernière, le peuple américain a entendu pour la première fois la confirmation non seulement que la CIA était impliquée dans le meurtre de JFK, mais plus que cela : Il a révélé que le Watergate lui-même était un complot de la CIA et que Woodward et Bernstein n’étaient rien d’autre que des agents de l’État profond qui voulaient punir Nixon pour avoir menacé de révéler qui dirige vraiment le pays.
Tout cela a un sens. C’est la première théorie cohérente que j’entends. Je suis immédiatement attiré par elle.
Comment diable Tucker Carlson reste-t-il à l’antenne ? C’est très simple. C’est le présentateur le plus performant du monde. Sa vaste base de téléspectateurs lui a donné la liberté de dire ce qui est vrai. Et vous remarquerez qu’il utilise très bien cette liberté, tant qu’elle dure.
La passion de connaître la vérité définit de plus en plus la culture américaine d’aujourd’hui. Il y a eu quelque chose dans les confinements qui a suscité un déclic chez les gens. Comment se fait-il que, dans le pays de la Déclaration des droits et de la libre entreprise, nous n’ayons soudainement plus le droit de gérer nos affaires, d’aller à la salle de sport ou même d’aller à l’église ? Les gens exigent enfin des réponses. Les réponses sont terrifiantes : le peuple n’est plus en charge de ce pays.
Ce qui caractérise les Américains, c’est que nous croyons que nous avons des droits et que nous devons avoir un gouvernement qui les respecte et les défend. Rien ne saurait faire changer les gens d’avis. Nous chantons pour ça le 4 juillet. Nous prêtons serment au drapeau. Nous racontons à nos enfants toutes les légendes de ce grand pays. L’État profond a vraiment fait un mauvais calcul en pensant qu’il pouvait effacer tout ça en quelques mois.
Selon les médias, toute cette nouvelle colère est alimentée par QAnon et divers groupes radicaux. C’est du baratin. La colère vient de partout, y compris de ceux qui s’imaginaient à gauche politiquement.
Quelques mots maintenant sur cette attaque étrange et inattendue contre Joe Biden pour possession de documents classifiés. Le timing était impeccable. C’est un coup classique de l’État profond. L’objectif est de rappeler aux élus de tous les partis, quelle que soit leur politique, qui est réellement aux commandes. La sécurité nationale dirige tout. Même Joe Biden n’est pas en sécurité. C’est ça l’idée.
En outre, on pourrait avoir l’impression qu’il est temps de commencer à faire marche arrière concernant sa valorisation. Cela permettrait aux démocrates de savoir qu’ils doivent préparer un nouveau candidat pour les prochaines élections, sinon le pays pourrait se retrouver avec quelqu’un d’encore plus efficace et dangereux pour l’État profond que Donald Trump lui-même, à savoir Ron DeSantis.
Le véritable objectif ici est de préparer quelqu’un à l’affronter avant que cela ne devienne incontrôlable. Mais qui cela sera-t-il ? Ça ne peut pas être Hillary, Kamala, ou Mme Obama. Ça ne marchera jamais. Ce ne peut pas non plus être un de ces démocrates new-yorkais effrayants qui sont compromis au-delà de toute croyance. Quelqu’un doit se manifester maintenant, sinon l’État profond va devoir faire face à une véritable épreuve de force dans quelques années.
Cette crise politique et financière se produit au milieu d’une euthanasie des emplois de cols blancs dans le secteur technologique et d’une dépression de plus en plus profonde dans le domaine économique. Il s’agit d’une combinaison mauvaise et sauvage qui ne fera que produire plus d’instabilité et de colère publique. Est-il possible que la classe dirigeante soit allée trop loin au cours de ces trois années ? On commence à le croire.
En tout cas, les temps sont bons pour les amoureux de la vérité. Nous obtenons plus que ce que nous avons demandé et même plus que ce que nous voulons. Essayons d’en profiter tant que cela dure. La répression de l’information et de nos nouvelles libertés arrivera bien assez tôt. Mais à ce moment-là, il sera peut-être trop tard. Nous sommes vraiment en train de déballer tous les mensonges.
Ce qui va se passer ensuite, tout le monde peut le deviner. L’histoire nous enseigne cependant que l’opinion publique a une réelle influence sur la vie publique. Par à-coups, la vérité l’emporte. Robert F. Kennedy Jr. a probablement raison. Quelque chose ne va plus depuis que son oncle a été assassiné. C’est le grand secret. Les confinements de 2020 ne sont que le moyen par lequel nous découvrons l’ampleur de l’horreur.
Chaque jour et de toutes les manières, de plus en plus de gens découvrent ce qui est arrivé à notre liberté pendant toutes ces années, et ils sont déterminés à la récupérer d’une manière ou d’une autre. C’est la bataille cruciale de notre époque.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.