Le confinement obligatoire imposé par le gouvernement français pour lutter contre la pandémie du virus du PCC (Parti communiste chinois)* entraîne des réactions de peur qui peuvent conduire à des actes répréhensibles.
Sur l’Île de Noirmoutier (Vendée), des voitures, toutes immatriculées en région parisienne, ont été vandalisées, selon France Bleu. Dans le village du Vieil, ce sont trois véhicules au total qui ont été détériorés.
Pour Noël Faucher, maire de la commune de Noirmoutier-en-l’île, «le message est clair». Les habitants craignent que les personnes qui ont décidé de passer la période de confinement sur l’île, n’engorgent, entre autre, les hôpitaux de la région. Depuis l’annonce du confinement, l’île a effectivement observé une arrivée massive de voitures, pour la plupart immatriculées 75. Les résidences secondaires ont été de nouveau habitées, augmentant considérablement les habitants de l’île.
— Maude (@Maude46653849) March 20, 2020
Le maire explique qu’il y a «une vraie incompréhension des insulaires, face à cet afflux qui risque de faire exploser le système de santé sur place». Pour Noël Faucher, il ne faut pas prendre ce confinement pour des «vacances». De son point de vue, il est important de rester chez soi. D’autant plus qu’avec l’arrivée massive de ces personnes quelques heures avant le confinement, les magasins ainsi que les stations essence avaient été dévalisés.
* Epoch Times fait référence au nouveau coronavirus causant la maladie du COVID-19 comme étant le virus du Parti communiste chinois (PCC), parce que la dissimulation et la mauvaise gestion du PCC ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.