L’ÉQUIPAGE S’AMUSE – Le 29 juillet, les passagers d’un vol de la Southwest Airline ont eu du mal à en croire leurs yeux à la vue d’une hôtesse de l’air tranquillement installée dans le compartiment à bagages d’un avion.
L’avion, qui partait de Nashville pour Philadelphie, était sur la piste et la procédure d’embarquement commençait quand une passagère se rendant à son siège a remarqué quelque chose d’étrange. L’agente de bord de ce vol était allongée sur le côté dans le casier à bagages, les pieds pendant à l’air.
De plus en plus de passagers montaient à bord de l’avion, gagnant leurs places, mais cela n’a pas fait broncher notre belle au bois dormant, toujours dans les nuages, qui s’est retournée sur le ventre pour mieux apprécier son repos. Évidemment, les smartphones sont sortis des poches pour filmer la scène.
D’après Veronica Lloyd, qui a enregistré la scène et a témoigné son aventure à bord à Fox News, l’hôtesse a jeté la confusion autour d’elle. Selon elle, l’agente de bord a profité de sa petite pause dans son perchoir pendant au moins 10 minutes avant de daigner redescendre et de reprendre son travail sur le vol. Elle a également déclaré au journal télévisé que l’agente de bord s’était montrée agréable tout au long du vol.
Comme elle, d’autres passagers ont posté l’incident sur Twitter.
Le tweet a depuis obtenu quelques commentaires et likes, avec des gens tout aussi confus qu’elle.
Encore plus surprenant, la réponse faite de la compagnie, apparemment habituée aux blagounettes du petit personnel.
« Les employés de Southwest sont connus pour leur sens de l’humour et leur personnalités uniques. Dans le cas présent, un de nos agents de bord a tenté de faire un peu d’humour pour distraire les passagers durant l’embarquement ».
« Bien sûr, ce n’est pas notre procédure normale, et Southwest Crews a toujours fait de la sécurité sa priorité absolue », peut-on lire dans la déclaration. Tant que ce n’est pas le pilote qui s’y met.
Autre tentative de blague (super manquée, elle aussi)
Restons sur Southwest Airlines pour cette blague qu’a tentée un passager qui lui a valu d’être expulsé d’un avion par des hôtesses de l’air furibondes (ce n’était pas le même équipage).
C’est l’histoire d’un vol de la Southwest Airlines, donc, en partance de l’aéroport international de Sacramento à Los Angeles, qui prenait du retard sur le tarmac.
Un voyant de maintenance s’est allumé dans l’appareil, et une voix a soudain susurré qu’un nouveau retard était à attendre.
« C’était un problème mineur, mais l’équipage voulait s’assurer de quelque chose et est retourné à la porte d’embarquement », a déclaré Peter Uzelac, un passager de l’avion, via Fox 40.
Les agents de bord passaient dans les rangs et distribuaient de l’eau lorsque le passager à côté de M. Uzelac a choisi le bon moment pour détendre l’atmosphère.
« Pourquoi vous ne distribuez pas de la vodka pour faire passer le retard? », aurait dit l’homme, selon le témoignage de son voisin.
L’hôtesse l’a regardé et aurait dit : « Je ne crois pas. Et je n’apprécie pas votre blague », selon M. Uzelac. « Puis ma femme a essayé de s’immiscer là-dedans et de dire : ‘Écoutez, on est dans cet avion depuis des heures' ». Ce à quoi l’impavide hôtesse aurait répondu : « Moi aussi, j’y suis , alors habituez-vous. »
Avec beaucoup de compréhension et de diplomatie, l’équipe à bord a décidé d’appeler au téléphone les autorités de l’aéroport, histoire d’envisager les options pour que notre plaisantin ferme son clapet une fois pour toutes.
Et comme on était plus à un retard près, l’avion a fait demi-tour. Les adjoints du shérif du comté de Sacramento sont montés à bord pour y déloger l’amateur de vodka.
« Les passagers ont commencé à protester. En fait, ils se sont levés. Je me suis levé. Les gens disaient que cet homme n’avait rien fait », a dit M. Uzelac à Fox 40.
Le mauvais blagueur n’a pas été accusé de délit.
Moralité, si vous voyagez aux États-Unis, faites des blagues seulement aux usagers et jamais au personnel.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.