Quinze enquêtes ont été ouvertes depuis décembre et confiées à la sûreté départementale de Rennes après des signalements de piqûres, touchant essentiellement des femmes, un phénomène qui reste « sans explication tangible », a indiqué mercredi le parquet.
« Quinze procédures ont été enregistrées au parquet de Rennes depuis le 10 décembre 2021, dans des établissements de nuit de Rennes (bar de nuit, discothèques ou salle de concert), s’agissant de 14 femmes et un homme », selon le procureur de la République de Rennes Philippe Astruc.
D’après le procureur, elles ont établi « un seul malaise, une seule présence de personne suspecte au moment de la piqûre, aucune tentative de vol ou d’agression sexuelle à la suite ».
Ces piqûres sont « le plus souvent sur le haut du corps (dos ou bras) » tandis qu' »aucune analyse biologique n’a révélé de substance suspecte », ajoute M. Astruc, précisant toutefois qu’il n’y avait pas eu les résultats de toutes les analyses.
« A ce jour aucune personne n’a donc été mise en cause s’agissant de ce phénomène qui demeure sans explication tangible », note le procureur.
Des cas de piqûres ont été signalés lors de concerts au Printemps de Bourges et dernièrement dans des discothèques, notamment à Béziers, Grenoble, Périgueux ou Nantes.
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