Rab Wardell, le tout nouveau champion écossais de VTT XC, s’est éteint dans son sommeil deux jours après avoir remporté ce titre à l’âge de 37 ans.
Katie Archibald, sa compagne et championne olympique, a tweeté qu’« il a subi un arrêt cardiaque ». Malgré ses efforts pour le ranimer et l’arrivée des secours dans les minutes qui ont suivi, il n’a pas pu être sauvé.
Dans un communiqué, British Cycling a exprimé sa tristesse de perdre un « brillant coureur, ami et ambassadeur de notre sport ».
Au moment de la rédaction de cet article, la cause de l’arrêt cardiaque de Wardell reste encore et toujours inconnue.
Enquête sur le nombre excedentaire de décès en Écosse depuis le début de la pandémie de Covid‑19
Le gouvernement écossais a ouvert une enquête sur les causes des décès excédentaires survenus en Écosse pendant la pandémie de Covid‑19.
Les décès excédentaires correspondent au nombre total de décès dans une semaine en 2022 moins le nombre moyen de décès dans la même semaine sur la période de 2016 à 2021, tout en excluant 2020 pour ne pas gonfler la moyenne des années précédentes, car il y a eu un grand nombre de décès au printemps 2020 (Décès excédentaires = Nombre total de décès ‑ Nombre moyen de décès au cours des années précédentes).
Les décès excédentaires comprennent les décès causés par la pandémie et ceux dus à d’autres causes.
Selon le site officiel du Parlement écossais, le nombre hebdomadaire de décès en Écosse entre avril 2020 et avril 2022 (dernière date disponible) est supérieur au nombre moyen de décès des mêmes semaines des années précédentes, pour la plupart des semaines de cette période.
Par exemple, pour la semaine commençant le 4 janvier 2021, il y a eu 1720 décès, alors que la moyenne des années précédentes pour les semaines commençant le 4 janvier (de 2016 à 2019) était de 1276. Le nombre de décès excédentaires est donc de 444 (34,80%).
Cependant, ce qui n’est pas clair, c’est la mesure dans laquelle les décès en excès sont causés par la pandémie de Covid‑19.
En juin 2022, dans un article publié dans l’European Journal of Preventive Cardiology, une revue de la Société européenne de cardiologie, il est recommandé de soumettre les athlètes à des tests génétiques pour prévenir la mort cardiaque subite.
La cardiologie du sport est un domaine de pratique avancée qui évalue les athlètes pour des conditions cardiaques génétiquement déterminées qui peuvent entraîner des arythmies malignes, une insuffisance cardiaque et une mort cardiaque subite. Les tests génétiques sont de plus en plus utilisés en cardiologie sportive et sont généralement considérés comme faisant partie d’une évaluation cardiaque complète chez les athlètes.
Selon les statistiques, jusqu’à 80% des athlètes qui meurent subitement n’avaient aucun symptôme ou antécédent familial de maladie cardiaque. En outre, mis à part le cas de Rab Wardell, un schéma universel de surmortalité accrue a été signalé dans le monde entier.
Cependant, les facteurs génétiques sont des facteurs plutôt stables qui, normalement, ne causeront pas directement la mort, à moins qu’il n’y ait des facteurs de risque externes importants. Selon la sagesse proverbiale, les causes internes sont comme des conditions préalables de base, comme une graine, tandis que les facteurs externes sont comme la lumière du soleil ou l’eau. La graine ne deviendra une plante que si les conditions de température, d’ensoleillement et d’eau sont réunies.
On ne peut pas attribuer un grand nombre de surmortalités aux seuls facteurs génétiques. Il faut trouver d’autres déclencheurs externes.
Mortalité excessive en Angleterre et au Pays de Galles
À part l’Écosse, d’autres régions du Royaume‑Uni ont également connu une hausse inexpliquée des décès supplémentaires. Selon les dernières données de l’Office for National Statistics (ONS) du Royaume‑Uni, de juin à fin août 2022, l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré environ 1000 décès en plus chaque semaine. Or, la plupart d’entre eux ne sont pas liés à la pandémie du Covid‑19.
Par exemple, au cours de la semaine se terminant le 26 août, il y a eu 1556 cas de surmortalité, mais seulement environ 453 d’entre eux ont été causés par la pandémie.
Avant la fin du mois de mars 2022, les décès en Angleterre et au Pays de Galles étaient moins nombreux que d’habitude, même si plusieurs centaines de personnes mouraient encore de la pandémie chaque semaine. Toutefois, la situation a changé par la suite, le nombre de décès supplémentaires augmentaient ou fluctuaient parfois. En revanche, le nombre et le pourcentage de décès dus au Covid‑19 étaient en baisse.
Par exemple, au cours des cinq semaines à partir du 1er août, les pourcentages de décès liés au Covid étaient respectivement de 7,4 (810 cas sur un total de 11.013 décès), 6,8 (723 cas sur 10.698), 5,7 (592 cas sur 10.355), 5,0 (551 cas sur 10.982) et 4,1 (453 cas sur 10.942), avec des baisses sur une base hebdomadaire.
Au contraire, pendant la même période, les nombres hebdomadaires de décès en excès étaient de 1.678, 1.350, 950, 1.719 et 1.556, respectivement, avec des baisses pendant les trois premières semaines, mais une augmentation surprenante pendant les deux dernières semaines.
Actuellement, au Royaume‑Uni, de nombreux experts de la santé, déconcertés et inquiets, réclament une enquête gouvernementale urgente sur ces décès excedentaires. Parmi eux, le Dr Charles Levinson, directeur général de la société privée de médecine générale DoctorCall. Selon le Dr Levinson, les causes de ces décès excedentaires sont complexes et ne sont pas entièrement comprises par les professionnels de la santé au Royaume‑Uni, d’où l’urgence d’une enquête gouvernementale exhaustive.
Si la trajectoire actuelle se poursuit, le nombre de décès excédentaires non liés au Covid dépassera bientôt le nombre de décès liés au Covid en 2022 au Royaume‑Uni.
Mortalité excédentaire toutes causes confondues aux États‑Unis
Selon un préprint publié sur medRxiv, le décompte officiel des décès liés au Covid‑19 aux États‑Unis a sous‑estimé l’impact de la pandémie sur la mortalité. On estime à 936.911 le nombre de décès supplémentaires survenus en 2020 et 2021. Parmi eux, selon les certificats de décès, 171.168 cas (18,3%) n’ont pas été attribués au Covid‑19 comme cause sous‑jacente du décès. Dans ce cas, la surmortalité correspond à la différence entre les décès attendus avant la pandémie et les décès réels, ce qui est une définition universelle dans le monde entier. (Surmortalité = Décès réels déclarés ‑ Décès attendus avant 2020. Le nombre de décès attendus est calculé à partir du nombre de décès sur la même période au cours des années précédentes).
Augmentation des décès supplémentaires dans le monde entier
Les États‑Unis et le Royaume‑Uni ne sont pas les seuls à connaître cette tendance à la hausse inexpliquée de la surmortalité. Des phénomènes similaires se produisent dans de nombreux pays, comme l’attestent les statistiques de la publication scientifique en ligne Our World in Data. Ce site utilise la même définition de la surmortalité que celle donnée ci‑dessus.
Les populations des différents pays étant très différentes, le nombre de décès en excès n’est pas une mesure utile à des fins de comparaison. Pour mieux permettre les comparaisons entre différents pays, on peut utiliser le P‑score.
Le score P est calculé en divisant la différence entre les décès déclarés et les décès attendus par le nombre de décès attendus, puis en le multipliant par 100.
[Score P = (décès déclarés ‑ décès attendus)/morts attendus x 100] OU [Score P = excès de décès /morts attendus x 100].
Par exemple, si le score P est de 50% pour une semaine donnée, cela signifie que le nombre réel de décès pour cette semaine est 50% plus élevé que le nombre attendu (c’est‑à‑dire prévu) de décès, si la pandémie du Covid‑19 n’avait jamais eu lieu.
Les 5 principaux pays ayant enregistré une surmortalité cumulée depuis la pandémie du Covid
Comme le montre le graphique, de janvier 2020 à début juillet 2022, les cinq principaux pays ayant enregistré une surmortalité cumulée sont la Russie, les États‑Unis, le Brésil, le Mexique et l’Égypte.
Parmi ces pays, les États‑Unis ont une population de plus de 338 millions d’habitants, le Brésil a une population de plus de 215 millions d’habitants, et les trois autres pays ont tous une population de plus de 110 millions d’habitants.
Comme il s’agit de pays relativement peuplés, et compte tenu du fait que certains pays plus peuplés, comme la Chine, l’Inde et le Pakistan, ont peut‑être sous‑estimé leur nombre de décès liés au Covid, il n’est pas surprenant que ces cinq pays affichent le plus grand nombre de décès en excès. Ce phénomène indique en fait logiquement que la surmortalité est proportionnellement liée au nombre d’habitants dans chaque pays.
Les taux élevés de surmortalité mentionnés ci‑dessus montrent donc clairement qu’il ne s’agit pas d’une raison spécifique à un pays, à une localité ou à une région. La cause doit en être un certain type de facteur de risque sanitaire qui a le pouvoir d’influencer l’ensemble du monde humain en 2021‑2022.
Mais quel événement pourrait avoir un tel pouvoir ? Même le taux d’infection mondial du Covid‑19 est d’environ 3%, ce qui ne justifie pas que le Covid‑19 lui‑même soit classé comme un facteur de risque sanitaire mondial.
Qu’est‑ce qui pourrait donc être classé comme un facteur de risque sanitaire mondial ayant le pouvoir d’influencer la majorité de la population mondiale ?
Dépassement inexpliqué du taux de mortalité en 2022 pendant la période Omicron
Comme le montre le graphique, de janvier 2022 à fin juillet 2022, plusieurs pays ont connu des augmentations significatives de leur taux de surmortalité, notamment le Royaume‑Uni, l’Allemagne, l’Australie, Israël et les États‑Unis. Les taux de surmortalité sont ici mesurés par le P score.
Au cours de cette période, le variant Omicron du Covid‑19 était le plus répandu. Bien que hautement transmissible, le taux de létalité du variant Omicron est inférieur de 78,7% à celui des souches précédentes. Selon un préprint publié sur medRxiv, le taux de mortalité d’Omicron par rapport à la population générale est de 0,021%.
Par conséquent, en théorie, si la surmortalité avait été directement causée par le SRAS‑CoV‑2, le nombre absolu de décès en excès devrait diminuer en 2022, après la propagation d’Omicron.
Faisons un calcul simplifié du taux de décès excédentaire qui aurait dû être causé par Omicron au Royaume‑Uni.
Pendant la période de cinq ans allant de 2015 à 2019, avant que la pandémie du Covid‑19 ne commence à faire des ravages au Royaume‑Uni, le taux brut de mortalité pour 1000 personnes était de 9. Par conséquent, le taux de mortalité était de 0,9% (=9/1000 x 100). En 2022, le Royaume‑Uni a une population de 67,58 millions d’habitants. Le nombre attendu de décès serait de 608.220 (=0,9% x 67,58 millions).
En supposant que tous les décès en excès au Royaume‑Uni aient été causés par Omicron de janvier à juillet 2022, le nombre de décès en excès devrait être de 14.192 (=0,021% x 67,58 millions), ce qui était bien inférieur au nombre attendu de 608.220.
D’autre part, si les décès causés par Omicron expliquaient la surmortalité au Royaume‑Uni, le taux de surmortalité ne serait que de 2,3% (=14.192/608.220 x 100), ce qui est bien inférieur au taux de surmortalité indiqué dans le graphique.
Par conséquent, la variant Omicron ne peut pas être la cause principale de tous les décès en excès au Royaume‑Uni.
Cela devrait également être le cas en Allemagne, en Australie, en Israël et aux États‑Unis.
Enquête sur les causes potentielles de la surmortalité
Indépendamment des maladies qui causent directement leur décès, de nombreuses personnes meurent chaque année de vieillesse. En raison de l’affaiblissement de leur système immunitaire, les personnes âgées sont particulièrement exposées à l’infection par le Covid‑19. Par conséquent, au 24 août 2022, 74,7% du total des décès liés au Covid aux États‑Unis concernaient des personnes âgées de 65 ans ou plus.
On peut donc en déduire que de nombreuses personnes âgées sont mortes des virus les plus mortels, tels que les virus Alpha et Delta, en 2021, lors de la pandémie du Covid‑19. Par conséquent, le nombre de décès excédentaires en 2022 devrait en réalité être inférieur au nombre de décès attendus.
Apparemment, le modèle constant de niveaux élevés inattendus de surmortalité dans le monde entier est anormal. Cette question justifie une enquête qui peut impliquer l’accès aux données brutes des certificats de décès (c’est‑à‑dire les causes de la mort), la vérification d’un échantillon aléatoire de dossiers médicaux, l’analyse des rapports d’autopsie et l’examen transparent du statut vaccinal de la personne décédée vis‑à‑vis du Covid‑19.
Les maladies cardiaques, préoccupation majeure des revues académiques
Selon l’Office for Health Improvement and Disparities du Royaume‑Uni, de la semaine se terminant le 24 juin 2000 à la semaine se terminant le 24 juin 2022, les principales causes de décès excédentaires étaient les cardiopathies ischémiques, les maladies cérébrovasculaires, les autres maladies circulatoires, l’insuffisance cardiaque et le cancer.
Une étude publiée en juillet 2022 dans la revue JAMA Internal Medicine indique que les principales causes de décès aux États‑Unis de mars 2020 à octobre 2021 étaient les maladies cardiaques et le cancer. Plus précisément, 20,1% des décès étaient dus à des maladies cardiaques, et 17,5% étaient causés par le cancer. Ensemble, elles ont été à l’origine de 1,29 million de décès, tandis que, dans le même temps, l’infection à Covid‑19 a été la cause de 350.000 décès.
Une autre étude a été publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) en août 2021, en utilisant des données recueillies auprès de plus de 40 institutions médicales américaines. Elle montre qu’après la vaccination contre le Covid‑19 le nombre de cas de myocardite et de péricardite a fortement augmenté d’environ 2 millions de personnes aux États‑Unis.
La myocardite survient en général 3,5 jours après la vaccination, et il existe une forte corrélation entre le moment de l’apparition et le moment de la vaccination. Parmi les patients atteints de myocardite, 80% ont développé les symptômes après la deuxième dose.
La péricardite survient en général 20 jours après la vaccination contre le Covid‑19 ; et dans 60% des cas, l’apparition des symptômes a eu lieu après la deuxième dose.
Les problèmes cardiovasculaires, notamment les cardiopathies, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, peuvent être causés par l’infection au Covid‑19 ou par la vaccination ARNm contre le Covid‑19 .
Selon un article publié dans la revue Nature, certaines études ont montré que le risque de problèmes cardiaques reste élevé plusieurs mois après qu’un patient se soit remis d’une infection par le Covid‑19.
En outre, le 9 juin 2022, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré que des cas de myocardite et de péricardite avaient été signalés après la vaccination Covid‑19 à ARNm (Pfizer ou Moderna), en particulier chez les adolescents et les jeunes adultes de sexe masculin dans les jours suivant leur deuxième dose de vaccin.
Selon le Dr Tom Shimabukuro, directeur adjoint du Bureau de la sécurité vaccinale des CDC, au 9 juin, 226 cas de myocardite ou de péricardite après vaccination chez des personnes de moins de 30 ans avaient été confirmés.
Les vaccins Covid‑19 à ARNm de Pfizer et Moderna sont tous deux basés sur des nanoparticules lipidiques (LNP) contenant de l’ARNm. Selon une étude publiée en décembre 2021 dans la revue iScience, il existe des preuves que les LNP utilisées dans les études précliniques sur les vaccins à ARNm se sont révélées très inflammatoires chez les souris. L’injection de ces LNP aux souris a provoqué des réactions inflammatoires rapides et intenses. Cela peut peut‑être expliquer la cause sous‑jacente de la cardite post‑vaccinale, qui est l’inflammation du cœur, y compris la myocardite et la péricardite.
Les données du VAERS laissent supposer un grand nombre de décès post‑vaccinaux et une augmentation des effets indésirables
Ce n’est pas une coïncidence si un nombre alarmant d’événements indésirables, y compris des décès, sont associés aux vaccins Covid‑19.
Les derniers chiffres concernant les effets indésirables du vaccin Covid‑19 dans le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) au 26 août 2022 sont les suivants : 1.394.703 rapports d’événements indésirables liés aux vaccins, dont 30.605 décès, 175.020 hospitalisations, 134.530 cas de soins urgents et 204.343 visites au cabinet médical. Il y a également eu 51.879 cas de myocardite/péricardite, 16.385 crises cardiaques et 8.942 cas de thrombocytopénie/faible taux de plaquettes.
Le nombre total de décès signalés après la vaccination par le Covid était extraordinairement élevé en 2021, tout comme le nombre indiqué par les données incomplètes de 2022. Dans la majorité de ces cas, les patients sont décédés entre 0 et 7 jours après la vaccination par le Covid 19 ; et dans environ la moitié des cas, les décès ont eu lieu entre 0 et 3 jours après la vaccination. Des durées aussi courtes indiquent clairement la relation de cause à effet entre la vaccination par le Covid 19 et ces décès.
Données d’une administration : plus de 70% des décès liés au Covid sont survenus après l’administration des rappels
Les autorités de la province canadienne du Manitoba ont signalé en juillet 2022 que le taux d’injections de rappel du vaccin dans la province était de 43,8% en mai 2022. Cependant, les personnes qui avaient reçu des injections de rappel représentaient plus de 70% des décès liés au Covid.
En outre, selon le rapport de surveillance du vaccin Covid‑19 de l’Agence britannique de sécurité sanitaire publié le 31 mars 2022, 73% des décès survenus dans les 28 jours suivant l’infection concernaient des personnes qui avaient reçu leur troisième dose de vaccin, avant que leur diagnostic d’infection par le Covid‑19 ne soit confirmé (pdf).
Le fait qu’une telle majorité de personnes (plus de 70%) ayant reçu 3 doses de vaccin Covid‑19 contribue à la cause de décès dans deux grands pays dotés du système médical le plus avancé au monde, suggère de manière convaincante que les vaccins Covid‑19 sont un facteur de risque potentiel pour la santé. L’impact des vaccins contre le Covid‑19 dépend également du nombre de doses.
Les résultats de la recherche indiquent de possibles lésions dues à la protéine spike
De nombreuses études ont montré que la protéine spike du virus SRAS‑CoV‑2 peut potentiellement causer des lésions aux péricytes cardiaques, à la fonction endothéliale, aux mitochondries, aux mécanismes d’autoréparation de l’ADN et à l’immunité.
Comme les injections du vaccin Covid‑19 contiennent également la protéine spike, les vaccins peuvent causer des lésions au niveau du cœur, des nerfs, du cerveau et des vaisseaux. Toutes ces blessures potentielles peuvent entraîner des problèmes cardiovasculaires, voire des morts subites.
Nous demandons ici une enquête mondiale transparente sur cette question urgente de la surmortalité croissante, et ce dans les plus brefs délais. Lorsqu’il s’agit de la santé et du bien‑être des personnes, il n’y a pas de temps à perdre, et il est inacceptable d’attendre.
Sur la base des preuves susmentionnées, il est fort possible que la tendance mondiale à la hausse de la surmortalité soit au moins partiellement due aux injections du vaccin Covid‑19. Ou, du moins, le rôle que les vaccins Covid‑19 ont pu jouer dans ce problème devrait faire l’objet d’une enquête approfondie et les résultats devraient être annoncés publiquement.
Comme le dit le proverbe chinois : « Après avoir perdu un mouton, il n’est pas trop tard pour réparer l’enclos. » Il n’est jamais trop tard pour prendre des mesures correctives.
Cependant, si nous continuons à perdre des moutons sans corriger les causes profondes, nous perdrons un jour tous les moutons.
Si aucune mesure n’est prise alors que ces signaux deviennent toujours en plus évidents, le fardeau de la responsabilité sera bien plus lourd que ce qu’une simple personne pourra supporter.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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