Les relayeurs français ont remporté le 4×50 m nage libre mixte des Championnats du monde de natation en petit bassin, signant au passage un nouveau record du monde vendredi 16 décembre à Melbourne.
Avec un chrono de 1 min 27 sec 33, Maxime Grousset, Béryl Gastaldello, Florent Manaudou et Mélanie Henique ont mené la course dès le premier relais pour devancer l’Australie et les Pays-Bas. Ils apportent à la France son premier titre dans ces Mondiaux.
?♂️ On démarre la journée avec un record du monde du relais 4x50m nage libre mixte (petit bassin) ?
? Florent Manaudou, Beryl Gastaldello, Maxime Grousset, Mélanie Henique sont champions du monde !pic.twitter.com/8m520GpGj0
— Equipe France (@EquipeFRA) December 16, 2022
« C’était incroyable. Je n’ai pas tout de suite tilté qu’on avait fait le record du monde », a réagi Hénique, qui s’est également qualifiée pour la finale du 50 m nage libre. « Je touche le mur, je vois qu’on gagne. Ensuite, je vois marqué World Record et je me dis: « Quoi ? C’est nous ? ». C’était incroyable à vivre avec Max, Flo, Béryl, on était là: « Qu’est-ce qu’il vient de se passer? ». C’était juste fantastique à vivre ».
Béryl Gastaldello aurait pu être doublement sacrée quelques instants plus tard mais elle a dû se satisfaire de la médaille d’argent du 100 m quatre nages, remporté pour un dixième par la Néerlandaise Marrit Steenbergen.
« Ce n’est pas facile d’être aussi proche d’être double championne du monde, c’est vraiment dommage », a estimé Gastaldello. « Mais je n’ai jamais eu à gérer un record du monde et dans l’heure qui suit une finale très importante. Donc je suis vraiment satisfaite de ce que j’ai fait quand même ».
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.