« Je ne voudrais être nulle part ailleurs » qu’aux JO, a assuré l’Italienne Sofia Goggia, soulagée à l’issue du premier entraînement de descente samedi, alors qu’elle tentera de défendre son titre olympique mardi malgré une récente blessure à un genou.
« J’ai encore des douleurs de ci de là, tout n’est pas parti en dix jours, je dois faire avec. Mais pour moi les Jeux olympiques représentent un absolu. Je ne voudrais être nulle part ailleurs, peu importe mon état de santé », a lancé la championne olympique 2018 de descente en zone mixte.
Sofia Goggia, 29 ans, vainqueur de six courses cet hiver (quatre descentes, deux super-G) s’est engagée dans un contre-la-montre pour défendre ses chances aux JO depuis qu’elle a subi une entorse au genou gauche après une chute le 23 janvier à Cortina d’Ampezzo dans le nord de l’Italie.
Elle n’a pas été alignée sur le super-G vendredi, mais a pu effectuer le premier des trois entraînements de descente samedi, après être remontée sur les skis le 5 février.
« Je suis contente d’avoir pu finir mon run. Je n’avais pas la garantie d’être ici. Ma présence est déjà un succès », a lancé la charismatique bergamasque dans un grand sourire.
??? La reine @goggiasofia is back ! ? https://t.co/YiJ5pVSMH3
— FX Rallet (@FX_Rallet) February 12, 2022
« J’ai aimé la confiance que j’ai affiché au départ. Je me posais des questions ces derniers jours à ce propos. Ma stratégie est de construire ma descente. Aujourd’hui je voulais rester légère, donner de l’énergie à mes skis, c’était un bon passage », a-t-elle ajouté, estimant à « 5,5 » le niveau de sa condition sur une échelle de 10.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.